Ecrit il y a longtemps, en période de grande déprime, heureusement passée! Il reste ce sonnet...
Texte protégé
Celui qui a, un soir, ressenti la tourmente,
Un matin la tristesse et le refus du jour,
A qui son entourage a proposé, si lourds,
La forge et ses outils pour arrêter la fente
Avant qu'elle ne soit par trop longue et béante.
Et qui a essayé de s'approcher du four
(Mais faibles sont les braises) et, marteau aux doigts gourds
a, bien timidement, voulu rendre vivante
L'enclume, à petits coups, puis... Découragement,
Puis un, deux coups afin de réchauffer la forge,
Tout seul dans l'atelier. Celui là seulement,
Je l'aiderai alors, le soufflet dans mes mains,
Afin de m'affranchir du sanglot dans ma gorge
En m'occupant du feu, et d'éclairer demain.
Edouard HUCKENDUBLER
Il est "clair" que c'est du passé...
· Il y a environ 11 ans ·vividecateri
Je ne peux pas envoyer de personnel message a n importe qui. Certains oui rt d autres non. Poursuoi?
· Il y a environ 11 ans ·Vous pzr exemple je ne peux pzs. Snifff
Helene Bartholin
J'ai demandé à wlw où en est cette mise en place de MP!
· Il y a environ 11 ans ·Cheer up!
astrov
Il y avait tout de même de l'espoir, dans ce texte. Continuez d'éclairer aujourd'hui et demain !
· Il y a environ 11 ans ·violetta
Bonsoir edouard
· Il y a environ 11 ans ·C est une si bonne description...
Vous voyez ça y est je vais mieux.
Les souvenirs c est bien. On prend des claques. A chacun de faire son futur.
Tres beau texte.
Pardon pour ces mots ou j etais si triste.
Helene Bartholin
Le feu doit être maintenu, il est aussi source de vie, qu'il soit au corps ou l'âme, il maintient l'espoir dans sa flamme, celui qui ne le ressent plus est perdu !
· Il y a environ 11 ans ·Michele Hardenne
Un antre de douleur
· Il y a environ 11 ans ·janteloven-stephane-joye