Le jardinier

Choupette

Mon mari partit en déposant un baiser sur ma joue, me laissant à moitié endormie… »N’oublies pas…le jardinier doit venir cet après midi. » Oh, non…je ne vais pas pouvoir m’installer au bord de la piscine, pourtant, le soleil pointait son nez et mes cuisses blanches avaient bien besoin de soleil après ce long hiver. Et …le reste aussi. Je traînais toute la matinée.

Vers midi, le jardinier appela pour dire qu’il s’était blessé et qu’ il ne pourrait pas venir. A moins que…j’accepte que son neveu vienne à sa place. Mon mari serait furieux…alors j’acceptais et puis…ce vieux jardinier avec son chapeau à la Indiana Jones et son short multi poches…ne me donnait aucune envie…

Il vint se présenter en début d’après midi, comme convenu. » Bonjour, je suis Mathieu, mon oncle a du vous avertir… » « Oui, bien sûr, je vais vous montrer. »  Une fois fait le tour du jardin…je retournais dans ma chambre. De là, derrière le rideau, je pouvais le voir…Wow ! Eh bien, la beauté ne lui venait pas de sa famille ! Grand, costaud…des yeux à oublier que le monde existe….une « tignasse » brune…

Je sentais déjà en moi les prémices de…Non, Non Marie ! Tu es mariée ! Ok, ton mari s’envoie en l’air avec sa secrétaire, mais…ben oui, pourquoi irait il au bureau le samedi, hein ? Oh, monté sur l’échelle pour tailler la haie qui nous cache des voisins, les muscles de ses bras tendent le tissu de son tee shirt…hum !

Ma main descends entre mes cuisses…oh, Marie, tu es déjà humide…je m’assois sur le bord du lit. Mes jambes écartées face à la baie vitrée…Oh, non ! Je le vois qui s’approche…je remets ma jupe en place. Il toque à la vitre ! Quel impertinent…me voit-il ? Je tire le rideau, ouvre la baie vitrée. » Excusez moi, Madame, mais je ne voudrais pas vous empêcher de…vous allonger au soleil…il fait si beau, et chaud aujourd’hui… » « Vous désirez peut être une bière… ? » Dix minutes plus tard, je le rejoignais sur la terrasse avec un plateau deux verres. J’avais passé mon maillot et un grand paréo pour ….enfin, je n’allais tout de même pas… »Merci…Vous êtes superbe. Si…si vous voulez je peux vous mettre de la crème solaire, le premier soleil est assez mauvais. »

Je crois qu’il m’aurait dit tout de go, j’ai envie de vous, cela aurait été la même étincelle que je voyais dans ses yeux ! Et dans les miens, que voyait-il ? Allongée sur le ventre, il passa ses mains sur ma peau…mon dos, mes jambes mes bras furent si vite enduits que je regrettais cette précipitation.Il retourna élaguer la haie, à mon grand regret. Mes pensées se firent très chaudes à le regarder…Il ôta son tee shirt, et j’aperçu son torse glabre, ses muscles saillants…Hum… je crois que je finis par somnoler au soleil, m’imaginant qu’il…oh oui, je sentais cette douce caresse du vent sur ma peau et pensais que ses mains seraient si douces sur…hum, oui…effectivement, là…oui, remontes là, entre mes cuisses. Instinctivement j’écartais à peine l’arc de mes jambes, offrant mon intimité à peine voilée par le maillot.

Ses mains sur moi, sur mon ventre faisant glisser le dit maillot…je me laissais aller à ma rêverie…quoique, cela semblait de plus en plus réel… » Chut…Laissez vous faire… » Son corps chaud contre le mien, ses mains qui agacent mes tétons à présent libres…sa bouche sur leurs pointes excitées…La douceur de sa langue qui les suçotent, les faisant durcir et se dresser. « Une belle femme seule a des besoins….chut… » La moindre parcelle de mon corps était caressée, titillée, excitée. Cambrée sous ses caresses de plus en plus…Je me tendais vers lui, offerte et soumise à mes désirs… 

»Oui, continuez ainsi…profitez… » Il me pénétra de deux doigts faisant couler mon jus sur mes cuisses. » Mouillée, offerte…que me donnez vous de plus ? » Ses doigts trouvaient le bon chemin vers mon plaisir qui montait de plus en plus. « Hum, j’aime regarder une femme dans le plaisir…oui, laissez vous aller…» son visage près du mien, ses yeux de braises, sa bouche pulpeuse…il m’embrassa… » Puis je… ? «  Charmant, désarmant, il demandait… Oh, que oui, il ne pouvait me laisser ainsi, au bord du gouffre du plaisir !

Quand je sentis son sexe dur et chaud contre ma cuisse, je le pris par la taille pour le serrer plus fort contre moi. Son pieu de chair m’ouvrit davantage et je soupirais de me sentir envahit par ce membre inconnu…et dés qu’il commença ses allées et venues en moi, j’ondulais en cadence, acceptant avec bonheur le rythme lent puis plus rapide de ses assauts. Je gémissais, râlais de plaisir…Sa respiration s’accéléra. Il  fit en sorte que je jouisse juste avant lui. Mes ongles s’enfoncèrent dans ses chairs. Quand sa jouissance arriva je sentis la chaleur de son nectar m’envahir au plus profond de moi…

Je fermais les yeux pour apprécier l’instant…

Quand je les rouvris…il était sur son échelle, à tailler la haie. » Tout va bien Madame ? »

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