Dire Straits - Money for Nothing

Tout le monde connait l'album des Sex Pistols intitulé en Français La Grande Arnaque du Rock'n Roll. Non ? Bon, je vais me coucher.

Je déconne.

Malcom Mac Laren avait au moins la franchise d'annoncer la couleur : s'en mettre plein les poches. Dans le milieu musical, une exception hormis les rapeurs.

Des cyniques du marketing nous, enfin vous, formatent. Le nombre de daubes est impressionnant : Lady Gaga, Madonna, Ryana. Mais il n'est pas nécessaire d'avoir des seins. Mon chouchou, c'est Phil Collins. En plus de sortir de la soupe, sa tronche ne me revient pas. C'est physique. A chaque fois que je le vois, j'ai envie de gerber.

Pour faire une chronique, je suis sensé avoir écouté la totalité de la galette critiquée. Le titre éponyme de l'album que j'ai dû me coltiner pendant des mois dès que j'essayais d'être urbain et de m'intégrer en société me suffit : Money for Nothing.

Je présume que le reste est à l'avenant. Un ramassis d'étrons formatés pour lobotomisés.

Vous êtes gentils : j'ai bien autre chose à faire qu'à polluer mes chastes oreilles à écouter des titres qui font le bonheur des radios pour campus américains. Un peu de sérieux !

Pourtant, l'Australie ou la Nouvelle-Zélande possèdent des perles. Je vous chroniquerai d'ici peu The Bats, the Go-Betweens ou The Saints. Des groupes qui méritent amplement de figurer dans mon Panthéon.

Mais c'est bien connu : les génies ne sont reconnus qu'après leur mort. Il suffit que je me regarde dans une glace pour en être persuadé.

Je déconne ?

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