OSEZ NATHALIE OSEZ!

Pawel Reklewski

érotisme pour le nouveau concours d'écritures érotiques...

OSEZ ! NATHALIE OSEZ!

Voyons voir qui est là ce matin, l'ordinateur se met lentement en route, et l'impatience de la lecture des mails me fait gigoter sur la banquette.

Au fond du restaurant je me suis installé une zone interdite à tous, le seul témoin est le mur derrière moi.

Enfin je suis en mesure de cliquer sur Yahoo mail et voilà …

Une dizaine de mails attendent ma lecture, jamais je n'ai autant aimé la recherche d'âme sœur, bien mieux que la boulangère de la chanson…

Je lis, et encore les mots doux qui s'ajoutent, séduction après séduction, mais sans grande finalité.

Nathalie répond à Pierre et Pierre a envie de lire Nathalie, cette fois-ci la web cam est branchée en permanence.

Nathalie donne rendez-vous, il y a quelques heures de décalage horaire, elle est en avance de six heures sur moi… à dix heures , elle me donne rendez-vous en visio à dix heures… plus qu'un quart d'heure à attendre.

Je réponds encore à quelques femmes qui visiblement sont trop sérieuses pour bien vivre les instants chauds de la vie à huit mille km d'incertitudes et doutes… C'est fou ce que les distances refroidissent les ardeurs des femmes …

Une fenêtre s'affiche en bas à droite, j'y vais je cours et plante ma flèche dedans …

Ca y est, elle est là j'accepte la vidéo et son visage apparaît, souriante, joli minois, elle s'éloigne un peu et je vois que sa poitrine est belle …

Cette femme-là me semble désirable et je lui demande si la cam est nette et elle me dit que oui.

Après quelques présentations je fais pivoter la cam pour qu'elle puisse situer l'environnement, je me lève pour qu'elle me voie en entier et je lui demande d'en faire autant.

§  Quand elle se lève je vois que sa jupe est repliée sur elle-même me laissant apercevoir ses fesses et entre, quelque chose d'assez fin.

Je lui parle et lui demande de tourner lentement sur elle-même, elle s'exécute je la complimente sur sa mini-jupe plissée comme je les adore et quand elle termine son tour je lui dis que j'aimerais bien poser un baiser sur la blancheur que sa jupe me laisse voir.

Elle ne saisit pas tout de suite puis porte ses mains à l'arrière et comprend de quoi je parle.

J'ai   droit à un grand éclat de rire, puis la main devant la bouche elle me dit qu'elle est gênée.

Une fois assise je lui avoue que de l'avoir vue ainsi m'a donné envie d'en voir plus et là elle me dit qu'elle est troublée, que c'est la première fois que cela lui arrive.

Mes lettres lui plaisaient bien, mon humour lui a donné envie de passer en visu, mais que jamais elle n'avait imaginé que cela se passerait de la sorte.

De mon côté je suis stimulé par sa sensualité et lui avoue que j'adore ce qui se passe entre nous et que je n'ai absolument pas envie que cela cesse, je lui demande de continuer en ouvrant plus son décolleté.

– Mais non …

– Mais si…

Je lui avoue que ce contact me donne envie d'elle, que je sens vivre mon sexe et qu'il se sent à l'étroit …

--Vraiment, je te fais cet effet-là déjà !  Je ne te crois pas !!!

--Mais si…

 Et je lui dis que  sous la table je dégrafe ma ceinture, pour permettre à Polo de respirer et …

– J'y crois pas, j'y crois pas…

 Je lui demande si elle veut voir la vérité et en échange je lui demande d'être équitable et de se déshabiller aussi.

--Montre-moi d'abord !

Et d'une main sur le clavier je lui fais promettre de tenir parole.

-- Ca marche mais toi en premier.

 Et c'est là que j'avance la cam  au bord de la table, je filme ma poitrine que je viens de dénuder, mon ventre, et suis ma queue de la base à l'extrémité que je décalotte dans un va et vient très lent.

J'entends un éclat de rire gêné, elle n'en croit pas ses yeux.

Je l'ai fait, mes doigts courent le long de la verge … puis un grand éclat de rire, elle s'amuse du spectacle.

Je tire bien les bourses pour qu'elle voie l'appareil en dehors du pantalon en son entier, puis je lui dis que je vais me masturber pour elle, là, maintenant, devant ses yeux, que ça n'a rien de virtuel, je lui fais l'amour pour la première fois.

La jolie femme souriante, médusée retire son chemisier et laisse ses seins à mon appréciation ; j'adore les voir libres et bouger dans un va et vient souple, je la vois qui me regarde admirer ses mamelles, c'est avec délices que j'y aurais plongé ma bite dans un lent mouvement qui irait jusqu'à sa bouche, sa jolie bouche aux lèvres rouges qu'elle venait de peindre pour notre première rencontre.

Plonger mon gland entre ses dents à toucher sa langue, caresser sa langue avec la fente de mon sexe…

Nathalie se lève et descend sa jupette très lentement, elle est penchée et ses seins sont énormes quand ils sont pendus les mains n'y suffisent plus pour les contenir, c'est splendide, merveilleux. Je sens qu'elle regarde mon sexe , la jupe tombe au sol, et il ne reste que son string rouge avec un papillon, je me demande si elle n'avait pas tout prévu pour que je tombe dans ses envies à elle, ses fantasmes érotiques qu'elle exécutait à des milliers de kilomètres de là.

§  Mon sexe est luisant et glissant, je lui demande  de l'imaginer dans sa bouche en attendant que son ventre soit prêt et elle acquiesce de la tête… sort sa langue pour me caresser, ferme les yeux et me dit d'accélérer le mouvement, elle veut entendre le bruit de la masturbation et se caler sur le tempo pour me faire une danse du ventre, le string tiré entre ses lèvres charnues.

Le sexe de la belle est coupé en deux, elle écarte les lèvres de chaque côté pour me montrer qu'elles sont aussi en érection.

Je suis fasciné par ce sexe aux lèvres juteuses, ouvertes  et je lui demande de se dévêtir entièrement pour m'offrir son clitoris, je le devine volumineux sorti de ses enveloppes chaudes et humides.

Lentement le string glisse le long de ses cuisses et je l'entends me demander si j'aime son sexe tout frais rasé rien que pour moi … parfumé, lisse, la fente remontant bien devant… La folie…

Je la vois s'éloigner et fermer la porte d'entrée tout en laissant la clef dans la serrure.

-- Mon fils doit passer je ne voudrais pas qu'il me voit ainsi …

Nathalie est si belle quand elle se déplace, je ne me masturbe plus pour faire durer cette jouissance le plus longtemps possible.

Je lui demande  de prendre quelque chose qui puisse remplacer mon sexe, j'ai envie qu'elle s'imagine mon sexe dans son ventre, ce serait notre premier accouplement…

Nath. va à la salle de bains et en ressort avec un déodorant et en marchant le place entre ses cuisses. J'en ressens des contractions, elle voit ma bite bouger spontanément, ça la fait sourire, elle est fière de l'effet qu'elle a sur moi.

Je l'écoute me dire qu'elle aime voir mon désir, qu'elle aime le pouvoir qu'elle a sur moi, qu'elle aime que je bande pour elle et cela quand elle en a envie.

§  Une suite de gouttes sur un long fil sort de ma queue, le méat est dilaté le lubrifiant sort pour mouiller la pénétration, je suis dur et la moindre caresse pourrait me faire éjaculer.

§  Nath ne quitte pas des yeux ce membre tendu vers elle, fière et enfin installée dans son fauteuil elle ouvre ses cuisses pose ses jambes sur la table, écarte ses lèvres intimes et je vois qu'elle aussi est brillante entre les cuisses, mouillée, ça coule jusqu'aux genoux et déjà le fauteuil brille de ses sécrétions.

Quel est l'homme qui n'est pas heureux devant de telles manifestations d'excitation ?  Moi je craque, je sens que des sentiments naissent avec les désirs, je vois le tube de déodorant rentrer sans aucune difficulté, je lui dis de me laisser avancer encore plus loin en elle.

Nathalie  avale dans son ventre mon sexe, lentement, son clito est tellement sorti qu'il caresse le tube dans sa progression, elle me montre tout, elle veut que je sois fou d'elle, elle me veut et me captive …Je suis son prisonnier.

Cette bombe ouvre les yeux et me dit qu'elle ne peut pas aller plus loin, tu es au fond de moi tu me heurtes, tu me fais mal maintenant fais moi l'amour comme tu aimes, dis moi ce que tu veux que je fasse, je suis à toi, je suis ta femme je n'ai jamais fait ça pour personne, viens prends- moi … fais-moi mal si tu veux …

– Mon amour, ressors lentement, suis ma main qui tient entre l'index et le pouce ce volcan prêt à jaillir pour toi.

Nathalie suit mon plaisir, parfois le tube sort de son ventre pour que je puisse voir son sexe ouvert, rien que pour moi puis elle remet le piston qui chasse l'air dans des bruits qui la secouent de rire puis je la vois aller un peu plus vite, elle se fait plaisir, les petits gémissements sont là pour le confirmer j'accélère je la suis dans son rythme…

§  J'apprends à connaitre la sensualité de cette femme que j'aimerais connaître mieux, j'aimerais être en elle et me sentir glisser et de son ventre ne sentir qu'un anneau lubrifié, voir mon chibre luire de son désir, de son plaisir, je suis jaloux de ne pas être le premier à lui vider le ventre de toutes ses liqueurs.

Je la regarde et sens que je vais jouir et le lui dis , elle va encore plus vite le bruit qui sort de son ventre recouvert de mousse   me fait découvrir qu'il me faudra être mieux qu'une promesse, cette femme est une merveille de la nature qui tressaille, des gestes désordonnés prennent possession de son corps, à mon tour je gicle et son ventre se contracte et se détend, cet objet-sexe qui représente le mien et enfoncé en elle, les contractions le font progressivement ressortir, puis soudain il jaillit de son ventre pour tomber par terre, trempé, il laisse des traces sur le sol…

– Mon chéri, je peux t'appeler comme ça maintenant…

– Oui mon cœur, viens me nettoyer je colle de partout ! Pourvu que le clavier ne soit pas abimé …

– Chéri, dis moi : j'aimerais venir te rejoindre en métropole la semaine prochaine, caresse-toi le bouton encore pour prolonger le plaisir, quand on se verra je te le prendrai dans ma bouche …!

– Tu viendras vraiment?

– Bien sûr que je le ferai et on ira à l'hôtel pour ne pas être dérangés, ce soir j'aurais pris les billets je t'en ferais un scan pour que tu aies les horaires et tu iras réserver l'hôtel de ton choix.

-- Chérie, j'ai encore envie de toi je peux ?

– Oui montre-moi ça, vas-y, fais-toi plaisir, branle-toi encore, je regarde…

Le soir comme prévu Nathalie telle une fée apparait sur l'écran, m'embrasse pour me dire que l'hôtel est réservé, avec sa main droite le déodorant quitte la table et va se cacher entre ses cuisses.

§  Nathalie me dit : ça y est, tu es en moi, ne me trahis pas ne sors plus tu es mon homme, tu n'as plus le droit de regarder les autres femmes sinon je te les coupe…

Je n'imaginais pas qu'un tel coup de foudre puisse exister, une telle rencontre que je reproduis de jour en jours, je viens en elle et cela fait déjà deux heures qu'elle fait l'amour avec moi, je n'ai plus qu'à boire à son ventre son amour pour moi, les bans sont publiés dans sa mairie, ce soir il y aura aussi sodomie qu'elle adore… et là c'est moi qui lui fais l'amour depuis déjà quatre heures… vais-je tenir jusque là ? Ou nous arrêterons-nous dans un champ pour laisser exploser nos désirs ?

 

 

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