Pour nos Enfants...
Dominique Capo
La lecture est, en ce qui me concerne, une passion comparable à nulle autre. Je ne pourrais jamais vivre sans livre ; je ne pourrais jamais passer une journée sans lire, au minimum, deux ou trois heures d'affilée. Ce serait comme m'ôter mon oxygène, comme m'empêcher de dormir ou de manger. Ce serait comme si on m'arracher un fragment de mon corps.
J'en serai très malheureux, profondément blessé et meurtri, autant physiquement que psychiquement. A plusieurs reprises au cours de mon existence, des personnes ont jugées que j'étais trop "intellectuel", que je "réfléchissais trop", que je ferai mieux de me "pencher sur des travaux manuels et de mettre les mains dans la terre, plutôt que de lever les yeux vers le ciel". Ces personnes ont voulu me forcer à adhérer à leur vision de ce qui était bon pour moi. J'avoue que ces instants ont été de véritables chocs psychologiques, des tortures mentales, qui m'ont marquées à tout jamais.
Aujourd'hui, je suis ma propre voie, je suis la destinée que je me suis choisie. Ce n'est pas simple tous les jours. Parfois, je suis regardé comme un extraterrestre, comme un étranger, ou comme quelqu'un qu'il ne faut pas fréquenter à cause de "ses drôles d'idées". J'ai été méprisé, humilié, moqué, rejeté, etc. Mais, malgré toutes ces épreuves, je ne regrette pas d'être l'homme que je suis aujourd'hui. Par contre, ce qui m'attriste, ce qui me meurtrit aussi, c'est de voir toute cette richesse intellectuelle et culturelle dont je suis le détenteur discriminée, insultée, écrasée, ironisée ou bafouée, régulièrement. Comme je pleure pour ceux et celles qui n'ont pas la chance d'aimer - ou, au minimum, d'apprécier - les livres, et tout ce qu'ils renferment. Toute cette connaissance, tous ces imaginaires, ces merveilles et ces enchantements qu'ils cachent à longueur de textes, de romans, de poèmes. Et qui font de nous des êtres ouverts, tolérants, épanouis, libérés de leurs à-priori, de traditions ou de religions qui les enchaînent à une certaine exiguïté spirituelle ou intellectuelle.
Je sais parfaitement qu'on n'a pas tous le choix. J'en suis conscient, je suis le premier - avec mon handicap - à le savoir. Mais, à force de volonté, de curiosité, d'efforts, d'acharnement parfois, il est possible de dépasser ces difficultés. Quand j'étais enfant, jamais je n'aurai songé devenir l'homme que je suis actuellement. Pour ce faire, j'ai dû affronter nombre d'épreuves qui m'ont parfois conduit aux portes de la folie et de la mort. J'ai dû vivre solitairement, sentimentalement, familialement. Pour autant, jamais je n'ai baissé les bras. J'ai toujours su que, d'une manière ou d'une autre, humblement, je pourrais apporter ma petite pierre à l'immense édifice continuellement en construction qu'est la civilisation pour laquelle je ne suis qu'un grain de poussière parmi les autres. Malgré tout, je poursuis journellement mon combat qui est celui-ci : plus on apprend, plus on s'enrichit intérieurement ; plus on enrichit ses rapports avec les autres ; plus on leur apporte, plus on devient tolérant envers eux ; plus on les comprend et on peux se mettre à leur place. Plus on accepte la différence également, plus on s'imprègne de ce qu'ils sont, d'où ils viennent, leurs rêves et leurs espoirs. Or, je suis viscéralement convaincu que la première marche permettant de gravir cette vision du monde, de l'univers, ou de ses semblables, c'est dans les livres qu'elle se cache. Alors, donnez cette chance, vous parents issus de tous milieux et de tous horizons, de grandir par leur intermédiaire ; autant que par toutes les autres manières que vous disposez ici bas...
la notion de conflit, de cette incapacité à communiquer avec toutes personnes ou quelques-unes - ici on semble vivre le rêve dans son absolu : "un monde parfait" voilà qui me tourmente un tantinet. La patience en guise d'aphrodisiaque, la vertu et foi comme finalité. Voilà une symptomatique absence "homérienne" évidente – j'aime le rythme d'écriture, mais sceptique quand au contenu – que fait-on des hérétiques ?, d’un Mallarmé ou d’un Baudelaire – des êtres profondément déchirés, justement à la recherche d’une certaine forme de chaos – bravo – tout de même bien écrit et convainquant – Sophie/Suemai
· Il y a environ 2 ans ·suemai
Mon fils avec sa compagne ont une librairie à Pantin, dans le neuf trois et je peux te dire, contre toute attente, que les gens qui aiment lire et aiment les livres, il y en a encore beaucoup ! :o))
· Il y a environ 4 ans ·Hervé Lénervé
une ôde à la lecture. Quelle vérité. Tout s'y trouve. Merci pour ce texte.
· Il y a plus de 4 ans ·Milady Write
De rien, au plaisir !!!
· Il y a plus de 4 ans ·Dominique Capo
Sublime. Je crois qu'ici nous y croyons tous en la portée des mots. Et pour étayer mon argumentaire, je me suis récemment fait le plaisr d'ôter la télé de nos vies. Mes enfants ont été accablés pendant deux jours, puis, n'ont pas eu le choix de redécouvrir les livres, les bd, la mausique... la culture. Ouvrir nos esprits à la découverte de nos émotions c'est s'ouvrir au monde. et vous le présentez merveilleusement bien. Avec tout mon respect.
· Il y a environ 6 ans ·gone
trop de vulgarité, de vide, de repos de l'esprit...l'esprit doit être continuellement allimenté de rêves, de pensées... et non d'idiocratie ravageuse de neuronnes... ABSENCE DE TELE
· Il y a environ 6 ans ·gone
Non, pas absence de télé, il y a de bonnes choses si on sait choisir, mais ce tri demande du temps, de la volonté, de l'envie de découvrir d'autres choses, en histoire, en culture, en art, en débats, etc. ; en tout cas, c'est ainsi que j'use de ma télé....
· Il y a environ 6 ans ·Dominique Capo
la télé, comme internet, les livres, etc. sont complémentaires, c'est juste un choix des sujets que l'on suite y suivre, parce que mème parmi les livres, il y a des choses bas de gamme, je peux vous l'assurer...
· Il y a environ 6 ans ·Dominique Capo
Oui. Certes. Mais vu lesur informations violentes qui passent je.préfère aller chercher à la source, chercher dans de bons magazines qui éveillent la curiosité. Je ne supporte plus de devoir subir et faire subir à mes enfants ce bourrage de crâne.
· Il y a environ 6 ans ·Je.comprends cèpenéant votre raisonnement... Mais le temps.... vaste sujet. :))
gone
Heureusement en effet, qu’il n’y a pas que des informations violentes. Mais comme vous l’avez précisé, nous avons le choix. En tant que mère de jeunes enfants, et parce que j’avais pour habitude de passer du temps avec eux et partager ces moments, j’étais désolée du manque de richesse des programmes enfants. Les personnages de dessin animés ont des traits effrayants, sont des animaux qui baragouinent un langage incompréhensible, qui hurlent, ont les yeux exorbités, se battent contre des monstres assez effrayants… Des jeunes filles vampires en minijupe, bas résilles, maquillées comme des putes… Je ne suis peut-être pas parfaite, mais là c’est de l’indécence – pour leur âge, encore une fois ! Pour ce qui est des émissions « jolies » à regarder, elles sont si rares, que je pars chercher ce qui est susceptible de leur plaire en leur laissant choisir parmi un éventail de programmes. Je trouve que nombre de choses sont désolantes pour les enfants, et je préfère qu’ils aient accès à quelque chose qui les fait « réfléchir » et rire – aiguisant ainsi leur humour - au lieu de les laisser être lobotomisés et en ressortir sans rien à raconter à l’issue si ce n’est un chien qui a attaché un crabe à une bombe pendant que la sirène se faisait enlever par une sorte de Poséidon qui vivait dans un volcan et allait la faire cuire au barbecue… Sérieusement, c’est désolant !
· Il y a environ 6 ans ·En ce qui concerne internet et les sites de violence en tout genre. Pour leur âge – puisque nous parlons d’enfant – je ne leur laisse pas cet accès libre. Pour la simple et bonne raison que si vous cherchez à regarder un Disney, juste avant une bande annonce porno va passer… Mais ils peuvent me demander et pourront toujours me demander… leur intérêt – selon moi – dit naître de ce qu’ils trouvent dans les livres, les magazines, les enseignements à l’école, et ce que je leur propose. La pêche à l’information est une source d’enrichissement, et je serai toujours là pour leur ouvrir les fenêtres qu’ils me demanderont d’ouvrir.
En ce qui concerne l’interdit, je serais en mesure de vous dire que je connais les limites et les dérives qu’il engendre. C’est la raison pour laquelle, il n’y a pas d’interdit, seulement des échanges et matière à réflexion. Et comme je les pousse à me convaincre – même si je ne le suis pas – et ayant une intégrité morale, je tiens à la valoriser et donc leur laisse accès – malgré moi – à certains dessins, aussi cons qu’ils puissent être, non pas que pour leur faire plaisir, mais parce que ça fait partie de leur environnement et que les enfermer dans un univers élitique, serait une castration.
Enfin, je ne me vois pas montrer à des enfants Bruegel, Guericault, déjà parce qu’ils ne sont pas en âge de comprendre la profondeur de ces toiles, trop de messages qui n’auraient aucun sens à leurs yeux innocents. Ce serait un traumatisme. Par contre, les emmener dans des expositions d’artistes en herbe, à des concerts de rue, des pièces de théâtre adaptées à leur âge… c’est les initier à la culture… la douceur de toiles de Manet, l’excentricité et l’explosion des couleurs et des formes chez Klimt, certaines de Van Gogh, Mucha qui est d’une délicatesse et d’une sensualité qui n’a rien de sale, mais de beau… même s’ils ne comprennent pas tout, cela éveille leur esprit, affine leur regard sur les autres beautés qui existent…
En voiture, nous chantons à tue-tête Maître Gimms, Louane… les artistes de leur génération. Parce que tout n’est pas mauvais. Et que le plaisir dans la culture est une priorité.
Je vous parlais du temps, dans mon précédent message. Et je prendds justement le temps de leur permettre de sortir du cadre dans lequel la société les formater… pour qu’ils aient à leur tour la possibilité de se forger un esprit.
Finalement, la meilleure expérience que je tire de tout cela, c’est qu’en étant plongée dans mon rôle de mère H24, en les observant, en les reprenants quand ils parlent un français des plus pauvres, en les aimant… Bref, en étant plongée dans leur univers malgré eux, j’en ressors avec la responsabilité et le devoir d’essayer de les plonger dans une contre-culture, car le tronc commun sur lequel la société cherche à les attacher, n’en fera jamais des hommes ni des femmes libres. Ils seront libres en pensant, car en pensant ils désobéiront et suivront la réalité dans laquelle ils auront choisi d’évoluer. Et non dans celle que le grand troupeau suit ! Je leur donne des cartes, ils en ont d’autres à disposition… je fais au mieux. Être parent, c’est un combat quotidien, mais une aventure qui vaut le détour ! Et aucun livre ne nous l’apprend.
gone
Oui, ètre parent, c'est un combat quotidien, permanent, épuisant, je suis d'accord avec vous. Mais quand je lis votre long commentaire précédent, j'ai le sentiment que vous avez le désir - autant pour eux que pour vous à ce que je devine entre les lignes -, de les faire vivre, que vous désiriez vivre - dans un monde de bisounours, ou tout le monde est beau et gentil, amical, curieux intellectuellement, culturellement, en les bridant concernant certains domaines de la réalité, qu'ils seront un jour amenés à découvrir malgré vous. Je rajouterai ceci : c'est toujours parce que l'on veut (trop) bien faire, avec desv intentions louables comme vous les décrivez, que, par réflexe instinctif, naturel, nos enfants une fois devenus adolescents, adultes, pour s'en affranchir, qu'ils vont a l'opposé, qu'ils se précipitent vers ce quoi on a tenté de les préserver, de les protéger, lorsqu'ils étaient enfants. Non seulement j'en ai fait l'expérience, mais c'est reconnu par les plus grands spécialistes de l'enfance. En outre, en suivant votre raisonnement, le danger est partout. Cette tentation d'aller a l'encontre de vos principes aussi. Un copain de classe, dans la rue, peut les entrainer sur des voies qui ne sont pas sous votre "controle". Or, c'est ce que j'entends, au travers de vos propos, le "controle" de vos enfants pour qu'ils aillent sur un chemin que vous avez déterminé comme bon pour eux. C'est a eux d'apprendre, à leur façon, par leurs propres moyens, avec leurs propres outils, lecture, internet, tv, autre, sont des outils. Les informer des dangers qui s'y trouvent, oui, leur expliquer le monde, les hommes, etc, oui, la culture, très bien. Mais la culture est un vaste domaine, qui revèt de multiples formes. La lecture est une forme de culture, c'est loin d'être la seule. Le rapp - je n'aime pas ; le graph - je n'aime pas non plus - sont aussi des formes de cultures. Mais ce n'est pas parce qu'elles ne correspondent pas a notre définition de la culture que ça n'en n'est pas. Dans le début de votre commentaire, vous montrez votre nostalgie de votre jeunesse concernant pour les programme TV, et vous vous fourvoyez. Ne vous souvenez vous pas de Goldarak, de Dragon Ball, des chevaliers du zodiaque, de Ken le survivant, j'en passe, qui étaient des dessins animés beaucoup plus violents que certains aujourd'hui diffusés. Il n'y avait pas que Candy ou Casimir. Aujourd'hui, c'est pareil. Je pense a ces parents de cette époque qui avaient le mème discours que vous concernant ces programmes, ou ceux de la génération précédente qui voyaient dans le rock une musique du Diable. Tous les enfants sont ils devenus des barbares, vous mème êtes vous devenue une barbare alors que vous avez été confrontée a tout cela. Avez vous été traumatisée. Les filles en bas résilles : mème époque, avec les mini-jupes, l'après 68 et l'amour libre, les femmes nues s'étalant sur la publicité des arrèts de bus, j'en passe. En sommes sortis tous et toutes traumatisés. Je le répète, vous vous fourvoyez dans votre approche. Et je gage qu'en ayant ce comportement limite castrateur - vous leur donnez des cartes, comme vous dites, mais que vous avez vous mème choisi ou influencé de leur donner ; car si vous échangez avec eux, en tant que mère détentrice naturelle de leur autorité - et c'est normal -, cous ètes leur référence. Et vous les influencez consciemment ou inconsciemment lors de vos dialogues, dans le choix des cartes que vous leur proposez. Eh bien, vous les fragilisez, vous les laissez démuni, sans défense, incapables de réagir, face à ce qu'ils vont inévitablement voir un jour ou l'autre. Et ça, c'est un manque de confiance en eux, en vous - cela reflète votre peur de ce que vous ne controlez pas, de l'exterieur, pour des raisons qui n'appartiennent qu'a vous, mais qui sont visibles comme le nez au milieu du visage. Et un jour, une fois adolescents, adultes, ce sont vos enfants qui vont en payer le prix fort... Fin définitive de discussion ; pas de réponse s'il vous plait, pour vous justifier, car tout transparait dans votre commentaire précédent, et je n'y souscrit pas ; moi qui suis pourtant un lecteur vorace, écrivain, épris de culture ; j'appelle ce que vous décrivez : de la censure.
· Il y a environ 6 ans ·Dominique Capo
J ai compris la leçon : ne pas faire ce que tu ne voudrais pas qu on te fasse... Être censurée. Merci. Vous m avez fait mal, vraiment. Mais je crois bon de revoir certaines choses.
· Il y a environ 6 ans ·gone
Vous vous intéressez aux mythes d'après ce que j'ai compris dans la notice bio du site. J'ai publié 2 romans en français portant précisément sur le sujet Des mythes et de leur rapport avec la réalité de l'instant present et aussi articles etc. en anglais ésotérisme philosophie ancienne etc. Au bout d un certain temps à faire Des recherches il y a une question qui se présente un peu d elle-même : en quoi Les mythes anciens seraient-ils différents Des contes modernes, par exemple Walt Disney ou les romans de science fiction?
· Il y a environ 7 ans ·orphe1
Ils se basent en effet sur les mêmes thèmes, réinterprétés afin de les actualiser et de les rendre plus accessibles au public de leur époque. Mais ils se réfèrent tous, d'une manière ou d'une autre, aux grandes questions, aux espoirs, aux peurs, de l'Humanité - consciemment ou inconsciemment - depuis l'Aube des Ages. Ils ne sont pas différents donc, juste adaptés à leurs époques, enrichis, au gré de l’évolution de la Civilisation, se concentrant sur certains sujets qui n'ont pas encore trouvé de réponse satisfaisante, au détriment d'autres qui sont plus ou moins solutionnés. C'est à la fois fascinant, passionnant, et très enrichissant.
· Il y a environ 7 ans ·Dominique Capo
Votre texte apparaît comme un tour d'horizon de la question. Au cours de mes recherches sur les diverses traditions, incluant évidemment mythes, symboles etc. lors de la rédaction de mon texte sur le genre, La Table d'Émeraude, je me suis aperçu que la vision ancienne serait non pas seulement différente mais en réalité, diamétralement opposée à la conception moderne. Pourquoi? Les mythes notamment indo-européens, grecs, scandinaves, slaves etc. Reposent dans leur totalité sur un socle métaphysique. Il y a toujours un rapport manifeste avec les questions de fond, l'idée de finalité l essence spirituelle de la réalité. Les contes modernes, incluant la science fiction, les motifs tirés du cinéma, déjà avant la deuxième guerre mondiale, notamment Mickey Mouse etc. affirment pour leur part la primauté supposément absolue des instincts, des pulsions élémentaires ou alors vouent un culte au nombrilisme fantaisiste au divertissement superficiel et autosuffisant de rigueur etc. Et les choses se compliquent encore davantage avec par exemple avec Tolkien ou Harry Potter qui prétendent se référer aux mythes anciens quand en réalité ceux-ci ne seraient en réalité que de fausses copies de ces mythes un peu comme de la fausse monnaie. Dans les mythes anciens il n y aucune place réservée à la fantaisie, au subjectivisme obscurantiste etc. Chaque élément, motif etc. Est à sa place qui lui est accordée par la réflexion de fond, méditation sur les vérités premières dont l'idée du bien et du mal font une partie intégrante. Quoiqu’il en soit, c’est un vaste sujet et des plus intéressants.
· Il y a environ 7 ans ·orphe1
Oui, très intéressant, mais difficile a développer de cette manière, il vaudrait mieux se parler ailleurs qu'ici pour échanger sur ces sujets.
· Il y a environ 7 ans ·Dominique Capo
Comme vous portez un intérêt à ces sujets, mythologie, contes, évidemment il serait intéressant d'échanger des opinions, idées etc. Adresse Facebook: christo jordanov
· Il y a environ 7 ans ·orphe1
invitation Facebook envoyée ; merci
· Il y a environ 7 ans ·Dominique Capo
Oui je l'ai acceptée. Le sujet dont I'll ét
· Il y a environ 7 ans ·orphe1
été question est Des plus intéressants a mon avis, mythologie, contes etc. Donc on pourrait l évoquer par la suite
· Il y a environ 7 ans ·orphe1
merci
· Il y a environ 7 ans ·Dominique Capo
Livres amis, beaux livres, livres présence, livres au quotidien, livres romans, livres libres, culture ouverture, culture émancipation. Comme c'est dommage qu'on vous ait fait souffrir pour votre passion pour les livres et la culture! Mais vous avez choisi votre voie en dépit de tout! Bravo!
· Il y a plus de 7 ans ·aile68
merci
· Il y a plus de 7 ans ·Dominique Capo
Une très belle pensée, très bien écrite, dans laquelle je me reconnais. Oui, je crois que les livres permettent, peu à peu, de faire évoluer notre société. Que la culture est essentielle, qu'elle nous permet de nous ouvrir sur les autres, qu'elle est une pierre élémentaire à l'édifice du vivre-ensemble. Que le monde serait plus beau, et le peuples en paix si chacun lisait et découvrait le monde autrement que sur leur télé.
· Il y a plus de 7 ans ·lila03
J'en suis convaincu, merci
· Il y a plus de 7 ans ·Dominique Capo
Magnifique.
· Il y a plus de 7 ans ·Ephram Melki
Il y a plein de lecteurs sensibles et curieux, peut-être ne sont-ils pas dans ton entourage mais quand je vois et je lis le nombre d'écrits de ce site , je suis bien plus optimiste que toi...
· Il y a environ 8 ans ·Roland Grandet
J'en suis heureux, cher commentateur ; merci de ta lecture, en espérant que les autres textes que je publie ici t'intéressent également....
· Il y a environ 8 ans ·Dominique Capo
Bien d'accord avec vous ! Que serions-nous sans la lecture ? On a beau dire et faire, rien ne remplacera le livre. Ce contact physique tout d'abord avec cet objet dont on a plaisir à tourner les pages, que l'on a plaisir à annoter, souligner, surligner... Le message qu'il véhicule aussi qui nous divertit, nous enseigne ou nous rassure. L'écriture aussi est aussi très importante. Mais ça, c'est une autre histoire... Bravo pour votre joli texte si bien engagé.
· Il y a plus de 8 ans ·Sébastien Bouffault
Merci
· Il y a plus de 8 ans ·Dominique Capo
Vaste sujet que de donner aux enfants le goût de la lecture. Élevée dans une famille d'enseignants en littérature et philo, je n'ai jamais imaginé ne pas lire ou me cultiver. J'ai pensé que mes enfants aimeraient ça aussi. C'est venu chez eux de façon différente et avec le temps, bien plus difficilement quand l'apprentissage de la lecture au CP a ressemblé à une longue suite de séances de déchiffrage de hiéroglyphes sur des photocopies en noir et blanc crasseuses, sans méthode adaptée, quand tout ce qui concerne le bloc littéraire en primaire était pénible, répétitif, faisait obtenir de mauvaises notes et des remarques en rouge cinglant. Je vais peut-être écrire un article finalement car le sujet me passionne! Merci de ce texte.
· Il y a plus de 8 ans ·divina-bonitas
De rien, heureux de vous avoir intéressé...
· Il y a plus de 8 ans ·Dominique Capo
Oui bonne soiree un abrazo jeannr
· Il y a plus de 8 ans ·Jaunie
Merci
· Il y a plus de 8 ans ·Dominique Capo
:) sincère ,
· Il y a plus de 8 ans ·bon weekend
jeanne
Jaunie
bon weekend a toi aussi
· Il y a plus de 8 ans ·Dominique Capo