R.V manqué

J'y étais bien pourtant sous ce ciel battant, perdue de ma déraison dans le carrefour des illusions.

La pluie est devenue tristesse parsemant mon coeur meurtri de ces gouttes de Crystal, d'une détresse que saignent mes larmes.

Quand la nuit est tombée effaçant toutes pensées, je m'en suis allée comme sur une autoroute sans péage, dans le suprême confin de ma réalité...

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Au frontière de la raison,
Brûle mon esprit d'un amour impur,

En flammes endiablées, damnée de mortelles passions.  

Puisque les cieux me tendent la main, 
Que ma grâce ultime s'incline dans les firmaments,

Les meurtrières d'un tragique destin.

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Quand les ténèbres ont obscurci mon étoile,
Que mes pas cherchent la lumière sur des escaliers de brume,
Au travers de mes rêves endeuillés,
Je vous clame du haut de ma conscience,
Un bonsoir, signe eternel de mon essence.

 (En attente d'un texte plus complet, si motivée car n'étant pas auteur(e)]