Un dépucelage sur-mesure

Mya est une jeune Anglaise de 23 ans, plutôt banale. Pas spécialement jolie mais pas vilaine non plus. On la considère souvent comme «la bonne copine».

Depuis toujours, les conversations avec ses amies tournent systématiquement autour des hommes. Cela va de la rencontre aux détails les plus croustillants de leurs ébats amoureux. Et cela met Mya mal à l'aise. Elle écoute, elle sourit, mais ne dit rien. Et pour cause. Mya n'a jamais eu de relations intimes avec un homme. Et à force d'entendre ses amies en parler, Mya aimerait elle aussi connaître ce moment de plaisir des sens.

Ce soir-là, en sortant de son travail, Mya décide de rentrer chez elle à pied.

C'est alors qu'elle le croise, sans au premier abord lui accorder la moindre attention. Mais très vite, elle fait demi-tour, guidée par une certaine attirance mais surtout par un désir naissant inhabituel pour la jeune femme. Elle entre dans cette boutique où elle l'a aperçue à travers la vitrine, quelques minutes plus tôt.

— Où est-il ? Il n'a pas pu disparaître en quelques secondes, se demande-t-elle.

Ah, le voilà. Elle le regarde et s'approche lentement de lui le feu aux joues. Il est là devant elle. Taille moyenne, fin, noir, très élégant.

Le regard et le sourire de Mya en disent long. Les paroles sont inutiles. Entre eux, il n'y aura pas de discours, pas de baisers, que du sexe. Et cela leur convient très bien.

Elle l'emmène chez elle et vont directement dans la chambre.

Il se laisse faire. Il aime être pris en main, être dirigé. Il aime attendre que le désir soit à son paroxysme pour entrer en scène, pour lui procurer cette extase suprême tant espérée.

Mya est terriblement excitée par la situation. Elle se débarrasse rapidement de ses vêtements et se met au lit, à ses côtés. Elle se tourne vers lui et lui enlève lentement tous superflus, elle le met à nu, le caresse délicatement du bout des doigts.

Tout en le regardant, elle commence à se caresser, titille le bout de ses seins qui répondent immédiatement à ses sollicitations. Elle descend ses mains vers son ventre avant de glisser entre ses cuisses. Elle caresse timidement son triangle glabre avant de s'aventurer plus en profondeur. Ses cuisses largement ouvertes sont une invitation à son compagnon d'un soir. Mya n'a qu'une envie à présent : le posséder, le sentir en elle, avoir le sentiment d'être enfin une femme.

Elle se tourne vers lui, tout en se caressant. Elle le prend en main et le dirige vers son sexe encore inexploré. Il s'introduit délicatement en elle pour ne pas lui faire mal. Mais très vite, le phallus s'agite, vibre, les va-et-vient se font de plus en plus rapides jusqu'à ce que le corps de Mya se tende et qu'elle s'abandonne en l'inondant de son nectar tiède.

En reprenant son souffle, elle murmure enfin son nom : «Oh my gode !»