Un vent d'espoir

Michele Hardenne

Un vent d’espoir

 

Non, je ne suis pas triste de t’avoir perdu,

Toi, le temps de ma prime jeunesse,

Et jamais, je ne t’en aurais voulu,

De n’avoir pas tenu toutes tes promesses.

 

Les années passent et emportent avec elles,

Les mensonges, source de tant de maux,

Elles les ont balayés,  aidées par un vent rebelle,

Et maintenant, elles font place à de jolis mots.

 

Ils se couchent sur une page du souvenir,

Je les écris à l’encre de ma mémoire,

 Et, si je n’ai que mon coeur pour te les lire,

C’est  parce que le temps me souffle un vent d’espoir !

 

M.H.(Michèle Hardenne)

26/09/2012

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