Complainte

Lyse,

Ha, quelle belle anaphore ce "Tu évoqueras" !

Des madeleines proustiennes,

Voici monter en moi ces réminiscences charnelles !

A ton anaphore je te répondrais "symploque", sans loques, toute nue, hum hum, ma belle dame.

Je me souviens de tes seins qui ont fait dresser mon mât de hume,

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Je me souviens de ta bouche avalant ma queue (que c'est bon ! Encore Lyse turlutte-moi encore !) qui a fait dresser mon mât de misaine,

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Je me souviens de ton cul tendu, me donnant à voir, à jouir -du culturel quoi- qui a fait dresser mon mât d'artimon. Et d'artifice n'est-ce pas ?

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Je me souviens de ma queue dans ta chatte trempée qui a fait dresser mon mât de Beaupré (et de loin aussi),

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Je me souviens des va-et-vient dans ton con, nasse à queue, qui ont fait dresser mon mât à mort,

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Je me souviens d'une levrette en forêt, à quelques encablures de la fontaine Saint Jean. D'une pine gonflée de désir pour ton con offert, un vrai con y faire,

Succube aux désirs indécents, baise-moi !

Jean tend, ouïr ou jouir