La substance de la femme aimée

merielle

La substance de la femme aimée

Elle, c’est l’absorption des peurs, la résolution des énigmes

Parce qu’elle est elle-même équation

Elle, c’est l’avant et l’après

Le signifiant et le signifié

Elle, c’est la régénérescence qui transcende la naissance

C’est l’évidence de la forme épurée

Le goutte à goutte de l’abondance

Elle, c’est un chant pour les yeux à l’écoute

Une onde pour la langue assoiffée

Elle, c’est une marge dans les limites

Un territoire prolixe où s’ébattent les essences des forces vives

Elle, c’est une perle d’air dans une pluie d’épices

La clarté de l’écho au sourire du bonheur

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