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Note moyenne
4.3
Nombre de notes
2
Nombre de lectures
991
De ce qui nous étreint, ne nous délivrez pas, Avant que la Conscience, en simple souveraine, N'ait défait, pour toujours, les forces qui enchaînent Cet enfant qui hésite et revient sur ses pas.
Avant que la Conscience, en simple souveraine, Crie, non pas: "je le veux!", mais plutôt: "le voilà!", Cet enfant qui hésite et revient sur ses pas, C'est un être qui dort, sans chemin qui le mène. Crie, non pas: "je le veux!" mais plutôt: "le voilà!" Car l'enfant est derrière une porte de chêne. C'est un être qui dort, sans chemin qui le mène. Il faut le réveiller, c'est lui qui ouvrira.
Car l'enfant est derrière une porte de chêne Et je le sens qui rêve et qui bouge déjà. Il faut le réveiller, c'est lui qui ouvrira. Le voici! Laissez le découvrir son Domaine.
Sublime.
· Il y a plus de 11 ans ·violetta
Quel beau pantoum ! et quelle force des sentiments ! CDC
· Il y a plus de 11 ans ·matt-anasazi
C'est joliment dit!!!
· Il y a plus de 11 ans ·Colette Bonnet Seigue
Et que l'enfant soit pareil à lui même... Tel que nous le restons !
· Il y a plus de 11 ans ·nilo
Très beau poème : un message si bien délivré !
· Il y a plus de 11 ans ·tendresse
Oui, beaucoup de jolies images pour un poème tout en tendresse, merci !
· Il y a plus de 11 ans ·sophie-dulac
c'est très beau et très original. Moi je le prends vraiment au premier degré même si c'est aussi métaphorique mais l'idée que ce soit l'enfant qui choisit de venir au monde c'est une magnifique idée.
· Il y a plus de 11 ans ·elisabetha