Les petits cailloux
klapoutz
Les chemins naissent de tous ceux qui se sont perdus, En laissant derrière eux, Des petits cailloux.
Les chemins naissent de tous ceux qui se sont perdus, En laissant derrière eux, Des petits cailloux.
De la musique au pavillon
Première porte à gauche
Perforant le ciel comme du papier à musique, Chaque nuit, Les étoiles jouent. La symphonie de l'univers.
Gravir les montagnes du regard. Et prendre un peu de leur temps.
Ou l’envolée lyrique d’une communauté indécise.
Je ne souhaite plus; Composer la réalité, Fabriquer un décor, Mettre en scène. Je veux vivre un instant, Et voler ce moment... Clic.
Je l'ai trouvée, Elle m'obstine, Mon amour, mon aventure, mon voyage. C'est la flamme de ma vie.
Du glacier, la rivière se réveille, Sautant les roches en cascade. Sur sa route, elle compte les libres moutons, Pour ne pas sortir de son lit.
Tel un livre ouvert, Perdu? Sans propriétaire, Dans quel Etat j'erre?
Je compte les nombreux moutons, Qui tintillent de leurs cloches, et m'empêchent de dormir.
A flot je file, Fidèle aux fous qui volent.
Cerfs-volants
Les amants des sables chauds
Tête en l'air
Aux prémices de l'orage
L'asphalte
Faut pas prendre le lièvre pour un lapin de 6 semaines
Synopsis d'une nouvelle en cours. Le fait de publier ces prémices me motivera à la terminer, et me permettra surement d'embrayer les autres...
Et parfois le mur, Insaissable, Infranchissable Et insondable. Se noyer au devant, l'angoisse. S'en éloigner, Pour mieux le contourner. Ou se retou...
Tes rouleaux d'écume, Frappent les frêles rochers. Je me vois glisser sur tes cimes, Essayer de te dompter.
Les montagnes inertes, Qui filent leurs dunes de coton, Envient le ressac de l'océan.
L'angoisse
L'hiver, mycèle du dimanche, De toutes tes branches, Tu couvres le bleu de mon ciel.
Les impasses du jour Sont les issues de demain.
J'ai scruté les eaux A la recherche du monstre Je me suis rapproché Je n'y ai vu que mon reflet.
Je bravais le pavé mouillé A la recherche d'âme qui vive. Elle, chantait comme un ange La pluie s'est arrêtée.
Je vogue sur la Baltique, Sur mon bateau, des oiseaux. Ces clandestins désirables.
La joue aplatie contre la vitre de la portière droite, je regarde les fenêtres allumées qui défilent. Dans l'habitacle il fait noir, la soufflerie ...
Avec ses pinceaux fébriles Sur la grande toile de sa vie Il dessine un corps sur lequel défile Le paysage de ses envies
Scène 1. L'enfant récite « Devenir un adulte c'est,Grandir,Et c'est ne plus vouloir grandir. </...