Journal

Mon cher journal

Ma lade n'est pas salade, quel jeu de mots;

Dans le même ordre de brillantitude,

jeu de rôlel, ou jeu drole

Attitude, longitude, latitude.

Comme tout cela m'a toujours semblé curieux.

Machinalement, machine allemande, ma chine allemande, je me marre sur ce jeu depuis que j'ai l'âge de la réfleion.

Eh oui, figurez vous qu'il y a des mots que je déteste, et des mots que j'adore :

- une onde c'est très joli, je rêve sur ce mot. cette onde est invisible, transmet des choses, les ondes du corps, le bas du dos, bronzé ou non, peu importe, c'est d'un coquin. Par contre onde de choc, je déteste, tremblement de terre, drame, ça se passe en général, sous terre et on ne voit pas exactement tout ce qui se passe hormi les graphiques, qui eux parlent après cette putain d'onde de choc et les ondes de choc dans les tsunamis, c'est horrible

Par exemple les spots publicitaires sont très amusants, il y en a qui éveillent en moi des choses plus que sexuelles, c'était une pub sur les mayonnaises, vous aviez des légumes qui se tortillaient en se trempant dans cette mayonnaise, c'était plus que coquin, j'adorais. Et une autre pub sur une marque de dictionnaire, qui avait conçu le spensable : lundi spensable, mardi spensable et ainsi de suite, j'adorais aussi

- une portion, je déteste, c'est limitatif, c'est un mot que je déteste.

- cadre, c'est d'un ennuyeux, ça limite, je ne l'imite pas cette notion où on ne doit pas dépasser...

Et pourtant les limites, on doit en avoir, je ne suis pas contre, mais il faut expliquer, le cadre, n'explique pas, il est là, il vous fait ch.....chaque fois la même chose

Bon mon activité neuronale, est  certes éveillée, depuis quelques jours je range, je jette, je nettoie, j'essaye de canaliser, d'analyser la cause de ses tourments cahotiques, je crois que j'ouvre mes yeux, mais que ça a toujours été ainsi.

Je voyage, je me marre, des idées fixes me font rêver, mais à un poiint.... ça me frétille mes papilles, ça me rend fébrile. On ne peut pas me suivre.... faut me laisser. J'aime à rêver, finalement seule, devant mes rigolades. Mais qui pourrait me suivre, peu de gens.....

J'ose, dire que j'ai du bordel dans ma tête, seule mon imagitation est fertile, je peux partir en vrille pendant un temps infini, ça se voit car je rigole toute seule, ce temps est inchronométrable, il doit être court, mais mis bout à bout, sans tabou, on doit atteindre par 24 heures, un petit temps.

Je suis sure, voire certaine, que l'une des choses les plus importantes dans ma cervelle de piaf, c'est l'amitié, c'est une plante qu'il faut arroser, choupiner. J'ai tellement peur, mais c'est pathétique, d'être abandonnée, qu'on ne m'aime plus, qu'on ne pense plus à moi, que ça me rendrais emmerdante. Et là je rejoins l'idée du miroir, quelle image donne-t-on à autrui?

Je ne me cache pas, c'est un euphémisme, et pourtant par mes écrits, par ma façon d'être, autrui sait.Bon il faut que je dise une chose que je ne suis pas sure d'avoir dite, ma scolarité a été un enfer, j'en ai souffert. J'avais du mal à me faire des camarades, et il y eut un déclic, et tout a été bien mieux, et depuis je suis toute cabossée....

Bon voilà je vous ai tout dit.... je pars dans mes placards, je vais ranger....

Je vous dis coucou, à bientôt, je gère, je digère, je dis j'erre. la vrille est ma devise. je me marre.