Lenteur

Patrick Gonzalez

Peinture Malcom Liepke

Comme une Ode à l'amour, au rêve, à la lenteur…Un hymne à la langueur, mon regard qui parcourt, qui voyage, caresse. Quel plus tendre enfer, que ton corps de diablesse, toutes ces récompenses que ta chair dispense…

Lentement, goutte à goutte, tu m'offres tes merveilles, tes aubes, tes aurores, la douceur de ton miel. Longues ondulations, la marée qui s'avance, nous colle l'un à l'autre, aux creux des confidences.

Follement, je dérive, je meurs à tes mots tendres, je succombe à ta peau, à ta plainte lascive, au plaisir qui s'élance... 

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