Lettre a mon nid
Helene Bartholin
Mon Cher I,
Mon Cher I
I dit oh
I dit homme à tic.
Mon Cher I
I comme Icare.
I comme histoire?
Mon Cher I
tu es quelquefois devancé par un h,
que l'on dit muet.
tu peut être aspîré
Mon Cher I
Tu es voyelle
tu es une lettre qu'on sonne.
ou qu'on ne sonne pas.
Mon Cher I
Si quelquefois tu as un H
On peut t'aspirer,
On peut t'avaler.
Mon Cher I
tu peux être grec
si tu es grec
tu as la valeur de 2
I pas n'est ma,
Je vois que tu n'es pas partout,
tu peux être un bienfait,
tu peux être dévastateur,
Tu vois dans le bienfait
tu es 2 fois dans ce mot,
dévastateur,
tu es absent,
Je t'embrasse mon cher I, et sois prudent.
Hélène
inventif
· Il y a plus de 11 ans ·woody
J'adore ta créativité , jolie réussite , j'applaudis et je mets un gros cœur
· Il y a plus de 11 ans ·la-vie-en-rose
mais Hélène c'est tout bon tout ça et puis pour l-impoli au''je vous emmerde '', fais pas attention faut reletiviser ce genre de personnage , et bé pour une fois que je peux ouvrir l'espace d'Hélène du premier coup !!!!!!
· Il y a plus de 11 ans ·franek
Il y a un i dans mon prénom, mais il a ouvert les bras vers le ciel pour l'implorer et lui demander d’être plus clément pour moi! Y...
· Il y a plus de 11 ans ·Réussi il est vrai ton écrit, tu vois, mis plein de i dans mon rédigé! Bises mon amie.
(entre nous, mon nom de naissance est Siourilas et mariée Dujardin) encore des i.
Yvette Dujardin
chere héléne puisse ton I etre a la hauteur de tes noble sentiments, sois prudente au fait jolie lettres.
· Il y a plus de 11 ans ·mousticot
Pourquoi y'a pas de I dans mon nom?
· Il y a plus de 11 ans ·gordie-lachance
oh la la
· Il y a plus de 11 ans ·Tu peux et non T
Helene Bartholin
T'as le droit de le garder !
· Il y a plus de 11 ans ·Philippe Larue
Belle voyelle que celle cI. et bIen dIt aussI.
· Il y a plus de 11 ans ·Choupette
I comme réussI
· Il y a plus de 11 ans ·Stéphan Mary
Coucou Helene,
· Il y a plus de 11 ans ·en cette période, j'ai plutôt tendance à dire "mon cher O ".
Tu es un sourire matinal, merci pour tes mots.
Michele Hardenne