Lettre ouverte

J'assume totalement que le niveau intellectuel de mes délires ne sauvera pas la littérature, ni même le sort de l'agrafeuse qui est d'ores et déjà condamnée en Amérique Centrale.

Mais comme vous semblez mal me connaître, ce qui n'est pas un reproche, car je suis anonymement inexistant. Par ailleurs, laissez-moi vous dire, qu'avant, j'étais sérieux ! Je pondais des thèses sérieuses en Sciences Humaines. Ce qui m'avait valu un certain respect de mes paires et certaines faveurs de mes écervelées, pardon, étudiantes.

Puis, je me suis dit un jour, à quoi bon tout ça ? Avec une longue expiration qui en dit long.

Et depuis ce jour, je n'écris plus que des conneries. Voilà!

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Rectification : je ne sais pas pourquoi j'ai voulu endosser le manteau du martyre, car je ne me connais aucun ennemi sur ce site. Que des commentaires bienveillants, de la gentillesse et de l'amitié. A croire que tout le monde même bien ou même m'aime bien, car je serais un bon et gentil garçon, un peu fallacieux certes, irrespectueux aussi, féroce parfois, admettons, sanguinairement bestiale, atrocement sadique, obsédé sexuel de la quéquette etc… Ok ! Mais c'est le costard qui veut ça, d'ailleurs, ma femme est radicalement contre, elle me critique souvent à ce sujet.

-         Rends-toi utile Hervé, plutôt que de perdre ton temps sur ce site à jouer les débiles mentaux attardés du ciboulot.

-         Ma chérie, je te laisse seule responsable de tes propos.

Que voulez-vous, pour paraphraser Reiser : les gens sérieux me font chier !

BISES