La soubrette

Choupette

   Légèrement penché vers la porte de la chambre de l’hôtel, à l’écoute des petits cris qui en émanaient, je n’entendis pas les pas feutrés de la jolie soubrette qui se dirigeait vers moi. » Un souci, Monsieur ? Puis je vous aider, » Je me redressai vivement, me tournant vers elle. Je ne pus réprimer un souffle de satisfaction. Elle était …elle était, toute de noir vêtue, avec un petit tablier blanc qui cachait son ventre et le haut de ses cuisses. Jambes fuselées, gainées de bas ou de collants couleur poivre…chaussée de talons simples avec une bride sur le dessus du pied… Relevant mon regard, je m’aperçus du sourire malicieux qui illuminait son visage. Des yeux verts rieurs, un visage rond, encerclés de boucles brunes. Un petit…quelque chose de blanc sur la tête, coiffure obligatoire certainement.

   Elle souriait, visiblement amusée de mon regard la détaillant de la tête aux pieds. « Vous avez perdu vos clefs ? J’ai un passe, vous savez ? » Les cris reprenant à l’intérieur de la chambre…elle s’arrêta de parler et compris. «  Je vois…les clients de la 63 font encore un peu de bruit. Pardonnez-leurs… » «  Ils sont tout pardonnés ! » M’écriais je cherchant une contenance que je ne trouvais pas. » Alors, si tout va bien, je vous souhaite une bonne nuit, Monsieur… ? » «  Je suis la chambre dans côté…Puis je avoir, sans vous déranger un oreiller supplémentaire ? » Quelle idée saugrenue…N’importe quoi… ! Elle va te croire…que tu cherchais un coussin !

   Elle fit demi tour, et j’aperçu, moulés dans sa jupe droite, l’arrondi de ses fesses se balancer de gauche à droite, le petit nœud blanc du tablier posant dessus…hum…je sentis en moi une envie…

« Voici votre oreiller, je vais vous l’installer si vous m’ouvrez votre chambre. » Ma chambre…ah oui, bien sûr…j’ai une chambre. A peine la porte ouverte, elle se glisse à l’intérieur me frôlant au passage. Tous mes sens sont en alerte. Son parfum, délicieux, discret  et fruité affute mon odorat, sa peau respire les fleurs…je la suis du regard…ce petit déhanché me fait…b…. ! Elle se penche pour retaper les oreillers et j’aperçois la dentelle de ses bas, la jupe remontant laissant apercevoir un bout de peau. Elle me regarde et fait durer l’instant. Consciente de l’effet qu’elle a sur moi, elle en joue.

   Je ne sais si elle attend un premier pas de ma part…et finalement j’ose. Mon sexe manque de place et je ne veux pas laisser passer une occasion, si belle de l’aérer un peu. Je m’approche et me colle contre son corps, qui se redresse, sans s’échapper. Ouf, elle est plutôt consentante…aguicheuse même ! Elle se frotte, yeux baissés, jouant la prude, mais tout son corps montre le contraire. Mes mains relèvent prestement sa jupe, au moment où nous entendant au travers de la cloison un gémissement plus fort que les autres. » Pardonnés, disiez vous ? »  Oh, que oui, je leur pardonnais. Ils m’ont permis de …Choses sérieuses…occupons nous de cette jolie soubrette, qui fait des heures supplémentaires !

   Je fais glisser le tout petit bout de tissu qui lui sert de sous vêtement, mes doigts s’agitant déjà sur sa toison humide. Elle se love contre mon sexe dur. Ses fesses frottent telle une chatte qui minaude. Elle m’excite. Elle se laisse faire et bientôt son corsage s’ouvre sur une poitrine généreuse serrée dans un balconnet tout aussi petit que sa culotte. Ses tétons pointent au travers du tissu. Ils sont si vite libérés que ma bouche les tête déjà. Elle gémit  sous les caresses, une main dans son sexe, l’autre appuyant mes lèvres sur ses seins fermes et sensibles. Jupe relevée, corsage ouvert, elle s’offre à moi comme un cadeau d’anniversaire. Mon pantalon est aussi vite à terre, et la faisant basculer en avant sur le lit, tête dans l’oreiller, croupe cambrée vers moi, je m’attache à lui donner ce qu’elle veut, ce que j’aime, lui donner du plaisir ! Mon membre au garde à vous, je la pénètre vivement. Ses gémissements n’ont d’égal que ceux ce la voisine de chambre qui semble elle aussi prendre du plaisir sous les assauts de son amant. Tous ces petits cris font monter mon désir. Elle en rajoute en m’exhortant à continuer, plus fort, plus vite.

  Je me retire doucement, pour l’allonger confortablement à côté de moi, souriants tous les deux de l’aubaine…

«  Je m’appelle Marie…vous restez longtemps ? »

Signaler ce texte