L'enfance d'Hitler

Dans notre série : « Connaissance de l'Histoire », aujourd'hui :

L'enfance d'Hitler

Hitler était-il un enfant normal ?

Pas vraiment, il était assez revêche au premier abord. Et au second abord il était même carrément rêche.

C'est d'ailleurs pour ça que plus tard il décida de fonder le « Troisième Rêche »...

Outre son aspect rêche, il piquait des colères terribles...

Les voisins, des polonais, s'en inquiétaient... « Il ne va pas venir tout casser chez nous quand même ? »

Pour les rassurer, les parents d'Adolf leur disaient : « Mais non, ne faites pas attention, c'est le petit qui fait encore une crise de fureur.. »

Du coup, les voisins appelèrent le gosse : « Mein Fureur... »

Ce surnom lui resta, et fit fureur quelques années plus tard, surtout auprès des Gretchen aux nattes blondes qui s'évanouissaient en le voyant, les connes...

Le jeune Adolf était quand même un sacré bon à rien, il ne fichait rien à l'école, à part copier sur son voisin, Jacob Bernstein, le fils de l'épicier.

Un jour Jacob lui dit : « Arrêtes de copier, t'es rien qu'un tricheur et t'es complètement naze ! »

« Moi naze ? » Répondit Adolf

« Oui, t'es naze hi hi hi ! » dit Jacob en riant...

« Ah oui, je suis naze hi hi hi ? »

« Sale juif, je vais te casser la gueule à la récré et tu vas voir si je suis naze hi hi hi ! Tu vas moins rigoler ! »

Comme Hitler était déjà assez lâche de nature, il recruta un certain Heinrich, un abruti de première mais sacrément costaud et il lui donna l'ordre d'aller casser la gueule à Jacob.

Ce que le gros Heinrich fit, il tapa si fort sur Jacob que celui-ci criait : « Aille Hitler ! Aille Hitler ! »

C'est ce jour là qu'Adolf s'aperçut qu'il exerçait une fascination certaine sur les gros abrutis costauds à cervelle de piaf...

Il se mit à leur tenir des discours enflammés, et au passage il leur racontait aussi des histoires belges, (que les gros abrutis costauds avaient d'ailleurs du mal à comprendre...)

Mais surtout il leur disait ceci : « Vous les gros abrutis costauds à cervelle de piaf, vous êtes l'élite de la nation allemande, vous êtes de la race  supérieure, et tous les autres sont des cons ! »

Et les abrutis étaient flattés et applaudissaient le jeune Adolf, voyant en lui le prophète, le Messie des abrutis costauds à la panse remplie de bière munichoise et de saucisses de Francfort et à la cervelle de piaf...

Bon, la suite est connue, Hitler devint le bienfaiteur de l'Allemagne en fondant la sécurité sociale (la fameuse SS). Il favorisa aussi la recherche scientifique en confiant des enfants au Doktor : « Mangez-les ».

Les allemands étaient enfin fiers d'eux, fiers d'être entre bons à rien.

Tous les Teutons devaient adhérer au parti : « Naze hi hi hi ! », et construire des autoroutes.

Le chômage fut vite résorbé, d'autant plus que la plupart des Jacob Bernstein furent envoyés dans des camps et que ça fit de la place pour les bons à rien qui s'emparèrent de leurs commerces...

Le jeune Adolf devint le Chancelier qui ne chancelle jamais, et pour distraire un peu son peuple il lui procura des occupations diverses en Tchécoslovaquie, en Pologne, en France, en Norvège, en Grèce...

Jamais les allemands ne voyagèrent autant qu'à cette époque, et ce, absolument gratuitement.

Ils inventèrent en fait les voyages organisés low-coast !

C'est d'ailleurs pour ça qu' aujourd'hui encore, dans tous les coins ou il y a du soleil et des nanas (da darlida dada!), on peut voir des tas d'allemands qui envahissent ces pays...

Bon, d'accord, à l'époque, les autocars de tourisme étaient un peu spéciaux puisqu'ils étaient couleur kaki avec des chenilles, et même avec un ou deux canons, mais en ce temps-là, on aimait faire costaud.

Les groupes de touristes, (souvent des jeunes gens sportifs, plein d'enthousiasme à l'idée de découvrir des pays nouveaux), chantaient : « Heili heilau, on rentre du boulot !».

Le parti « Naze hi  hi  hi! », avait bien compris que les voyages forment la jeunesse.

Bon, il est vrai que parfois, ces voyages déformaient plutôt la jeunesse, notamment du coté de Stalingrad, ou pas mal de touristes allemands finirent en chair à pâtée.

Mais quelle idée de faire du tourisme dans ces régions glaciales peuplées de barbares ?

Hitler, dont on a dit tant de mal, a contribué cependant, grâce à son action humanitaire constante, désintéressée et généreuse, au renouveau de l'Allemagne en la faisant raser entièrement par les alliés, procurant ainsi après-guerre, et pour de nombreuses décennies du travail aux ouvriers et aux entreprises du bâtiment.

L'Allemagne, entièrement détruite grâce à Hitler connut un essor économique sans précédent, essor qui se fait toujours sentir aujourd'hui...

Eh bien, figurez-vous que les allemands sont d'une ingratitude odieuse.

Il n'y a pas une ruelle, ni même une impasse Hitler dans toute l'Allemagne !