Lucie
the-ultimate-gibbon
Quatre hauts rideaux de branches
A travers lesquels se penchent
Les lumières qui ravissent
Un petit tapis de mousse,
Et quelques timides pousses
D’un tronc résineux jaillissent
Entre si tu veux, ici est ma maison.
Ses cheveux sont des tourbillons
Elle sourit des yeux puis les plisse
Elle n’a peur que de l’infini.
Et j’ai peur que cela finisse.
tel le Lauréat. c'est dire...
· Il y a presque 12 ans ·elle-vire
Merci pour vos commentaires:) La vouivre? Celle de l'eau?
· Il y a plus de 12 ans ·the-ultimate-gibbon
C'est la cachette de la Vouivre !!!
· Il y a plus de 12 ans ·Michel Chansiaux
C'est la cachette de la Vouivre !!!
· Il y a plus de 12 ans ·Michel Chansiaux
simple et beau, j'ai aimé cette lecture.
· Il y a plus de 12 ans ·bleuterre
un bonheur à lire.
· Il y a plus de 12 ans ·Renise Charles
J'aime beaucoup !
· Il y a plus de 12 ans ·myos
Texte très agréable en effet !
· Il y a plus de 12 ans ·petit-corps-decu
Merci pour vos encouragements!
· Il y a plus de 12 ans ·the-ultimate-gibbon
Un très beau texte, dans une étrange structure qui fait penser à une amputation.
· Il y a plus de 12 ans ·Frédéric Clément
l'air de rien... tout en délicatesse... très joli texte
· Il y a plus de 12 ans ·reverrance
J'aime beaucoup : le rythme est doux et fluide. Belle écriture. :)
· Il y a plus de 12 ans ·dusha2
Oui, très jolie poésie !
· Il y a plus de 12 ans ·Pascal Germanaud
Un texte tout doux...très beau...évocateur...
· Il y a plus de 12 ans ·lyselotte