Moloch 2013 en déréliction sociale
henri-charte-pocel
Petite pensée pour Allen Ginsberg, pour la transmission de ce même dégoût de la société. Beat's generation après l'heure.
Petite pensée pour Allen Ginsberg, pour la transmission de ce même dégoût de la société. Beat's generation après l'heure.
Ta langue accroche son odeur de certitudeaux moissons de décembre.Sûre et surprise de son raison moisi.<p clas...
Prends garde, si tu palpes la tiédeur des quatre vents, que ton cœur ne se décroche pas. Il claquerait ses veines épaisses au milieu du vide. La lo...
Entre les dents, ce brasier qui consume nos mots, et ce silence qui tombe avec le fracas insoutenable des crânes brisés, en mosaïque sur les parois...
Sous les bancs du soleil où se gercent les heures arrivent les courants des vents fous et sauvages qui sillonnent les ronces d’airain.Désormai...
Voici une petite chronique qui concerne l'éducation. Vous pourriez tout avoir si vous choisissiez de tout avoir. Mais comment cette idée pourrait-e...
Cruelcruel soleil qui nimbe l’horizon que n’as-tu pas caché la laideur humainesous un ...
Quoique le soleil tremble à l’ombre de l’étéEt que fassent échos au passé de mes heuresLes mots que je ne peux écr...
Plissure de mes trêves sur le déclin du jour. Je suis l’anachorète qui parle à travers le silence. Je jeûne des visages d’hommes, la cire dans laqu...
Mes yeux de granit doucement se dilatent ; La brisure s’étend et poursuit lentement L’ombre qui se meut jusqu’à l’épuisement Dans un bloc de lumièr...
J'aimerais un jour ou l'autre Rencontrer la bien-aimée Pour lui faire mon apôtre Et souffler les consumés Croi...
Ce qui suit est une lettre ouverte à personne en particulier, à une multitude en général. L’on peut s’y reconnaître comme destinataire si l’on sou...