Champagne tiédi
Kazan Fuurin
Texte quasi brut, sur l'art d'être perdu.
J'ai toujours aimé manipuler la plume, particulièrement la plume en l'air, la plume à la bouche, la plume à l'encrier, la plume au vent. Dès que ja la pose sous le papier et qu'elle crisse, cela m'agace. Paradoxal, non ?
J'aime la Science-Fiction réfléchie, celle qui casse les limites et ouvre l'imaginaire pour imposer ce qu'elle veut : politique, pensée, éthique, éloignement. J'aime le suspense du policier, les personnages profonds, et le bel écrit.
J'aime quand une phrase de cinq mots surpasse une phrase de mille mots. Et j'aime encore plus quand on triture et multiplie ces cinq mots par deux cents.
Comme tout le monde j'aime être surpris par un texte qui sort de mes critères : histoire d'amour mielleuse, clichés dépassés, j'aime quand on rédéfinit les choses mille fois vues pour en extirper la beauté par leur clacissisme.
Texte quasi brut, sur l'art d'être perdu.
Enième perplexité sur la page blanche - paradoxalement thème récurrent de l'écrivain - l'écriture morte, la muse que l'on poursuit et qui nous aban...
Une pensée particulière chaque fois que je compose ce signe de ponctuation.
Une pensée, en attendant que les proches arrivent pour boire notre fameux verre.
Maximilian Niemand, aux derniers étages d'une tour, contemple le monde par le dessus. De son ascension, il ne rêve que de chute.
Nouvelle de 09/2013 pour ParisPolar. La contrainte est une photo de R. Slocombe (voir photo). J'ai tenté un mix SF/Polar de gare ("à la" Blade Runn...
Double thème: La peste/ Le mont Saint-Michel
Louise aimait les balancelles et les coquelicots. Louise des beaux jours : le printemps de mai et le parfum des lilas. Les tatoos éphémères en form...
Une nouvelle écrite à deux, autour du thème du cinéma