WLW

Avant le péché originel, il y avait le paradis.

Depuis, il y a WLW.

Un lieu virtuel où l'on trouve un bonheur réel. Pensez, plus de  22 000 auteurs ! Vous imaginez les egos qui déambulent sur ces millions de pages ? Je dis « ego » parce que quand même, il en faut du courage pour balancer chaque fois ses tripes comme ça à plus de 22 000 regards (et aussi parce que Petisaintleu m'a fait la leçon !!) !

Parce que chaque texte, c'est un morceau de nous-mêmes qu'on offre aux autres. Une étoile de notre univers. Et ça n'a pas de prix.

Il y a tous les genres ici.

Ceux qui étalent leurs murmures, leur culture, leurs blessures.

Ceux qui déshabillent leurs envies, leurs soucis, leur génie.

Ceux qui imaginent des histoires, des miroirs, des coins noirs.

Ceux qui livrent leur passion, leur imagination, leurs frissons.

Il y a des rimes, des textes courts, des idées en passant, des nouvelles, des romans, des recommandations de lecture, des coups de gueule.

Il y a ceux qui donnent leur nom, et ceux qui ont des pseudos. Ceux qui mettent leur trombine, et ceux qui se redessinent. Ceux qui lancent des défis (je suis innocente !!), et ceux qui les relèvent.

Il y a des talents monstrueux qui vous tombent dessus comme un parpaing, et des petites voix qui vous font frémir le cœur.

Sur WLW, il y a de tout.

C'est notre paradis à nous, sans ligne éditoriale, sans minimum de caractères, sans refus injustifié ou principe de mode.

WLW, c'est le mi chemin entre nos rêves et le monde réel.

Et chacun s'y comporte avec respect et bienveillance, attention et tolérance, afin de préserver son existence.

Alors bien sûr, Adam et Eve se sont appuyé le serpent.

Nous, même bien au chaud dans nos mots, on ne pouvait guère espérer échapper à quelques fausses notes mineures. Le serpent condamné à ramper dans la poussière doit se sentir bien seul, puisqu'il en est réduit à s'entourer d'une armada de serviteurs mystérieux qu'il envoie à sa place. J'imagine que cela lui donne un sentiment de puissance d'avancer ainsi, à la fois multiple et masqué, et finalement toujours le même. Mais si la violence est l'arme des faibles, alors l'insulte est celle de l'éconduit. Peut-être compense-t-il ainsi son impuissance à attirer le butinage des abeilles, allez savoir ?

Mais ce n'est que caillou dans une chaussure, dont on se débarrasse sans plus y penser.

Je préfère penser à …

Ade

Toujours si douce et lumineuse, qui s'émerveille, partage, échange, éclate de rire et…dévore tous mes moelleux au chocolat ! Tu es belle, Ade.

Erge

Un ours comme on en fait plus. Qui jongle avec les idées, joue avec les mots comme avec des briques de Lego, rebondit toujours (mais je te jure qu'un jour j'aurai le dernier mot !!) avec gentillesse et humour. Et accessoirement remet le monde à l'heure.

Petisaintleu

Qui sort des chroniques sur tout et n'importe quoi, me fait rire et sourire avant de me mettre une baffe qui me colle par terre, et en trois langues s'il-vous-plaît.

Véronique Théry

Qui égrène les sujets comme si elle les tirait au sort, et me balade de la philosophie à la chaise longue sans que je me rende compte de rien. Sauf que je ris souvent. Moi aussi j'adore ta façon de voir le monde, Véronique.

Edgar Allan Popol

Qui écrit des romans comme d'autres fabriquent des petits pains. J'aime me perdre dans ton univers, même si tu écris trop vite pour que j'aie le temps de tout lire. Et même si parfois je me demande si c'est toi qui a fumé avant d'écrire, ou moi avant de te lire.

Chloe-n

Qui tient la rubrique séries – lectures avec zèle, et m'entraîne dans l'histoire d'une famille en faisant durer le suspens.

Fenris

Chaque texte que tu écris me donne envie de ranger définitivement mon stylo, mais je ne t'en veux absolument pas. Si, si, promis.

Lyselotte

Qui lutte vaillamment contre son zézaiement si attachant, vive comme l'éclair, qui me fait rire aux éclats (oui, même ton texte érotico-musclé m'a fait rire !), mais maîtrise la langue comme peu d'autres.

Petitepepite

Qui a un style dingue, une petite merveille en or avec laquelle je me régale.

Fionavanessa

Qui écrit des textes uppercut pleins de douceur et de courage qui me coupent le sifflet.

Apolline de Touvent

Ton nom te va bien, ton écriture est comme le vent qui souffle, parfois brise légère, parfois tornade, mais toujours rafraichissante.

Arthur Roubignolle

Si fier de ses deux L, qui préfère écrire des textes aux petits oignons que refaire son intérieur. N'empêche, ton texte sur la surpopulation, je l'ai trouvé génial, ce qui est quand même embêtant, vu que des marmots, j'en ai fabriqué trois.

Patrick Gonzalez

Qui déshabille la femme sans jamais se lasser, avec toujours sensualité et douceur. J'apprécie beaucoup tes goûts picturaux, et les femmes sont belles sous ta plume.

Elisabetha

D'une douceur altière et sereine, qui veille sur tous les poètes avec bienveillance.

Effect

Qui a le don de saisir des moments du quotidien et de me les jeter comme ça dans les pattes l'air de rien. Ou avec un sourire angélique.

Brein-milliner

Qui me réconforte par ses épopées livresques parce que sous sa plume, ça devient drôle (et alors ton texte sur l'indignation, j'en suis restée comme deux ronds de flan !).

Dreamcatcher

Qui s'occupe d'ensoleiller mes vacances pendant que je la fais voyager dans le patois local. Et me rassure : non, je ne suis pas complètement et définitivement has been. On va monter un tour operator toutes les deux.

Patrick Ladhalle

Qui réécrit la musique française, décline l'amour sous toutes ses facettes, sans jamais se répéter.

Yeza

Que je commence à découvrir mais que j'apprécie un peu plus à chaque texte.

Alice Gauguin 1^ère et Bis

Qui écrit comme elle respire, auscultant ses états d'âme pour entretenir ma sensibilité.

Anne-onyme

J'apprécie les bouquets de fleurs de champs que tu ramènes de ton jardin secret.

Divina-bonitas

Qui pousse des coups de gueule contre l'été (vu que la flotte me poursuit, je suis tout à fait d'accord avec toi !) et réforme l'Education nationale.

Wic

Que je ne vais pas voir assez souvent, mais dont j'aime le style et le rythme.

Lorine

Qui m'emmène en balade musicale et pique mon Nutella.

Isabelle Gautier

Dont j'aime l'écriture un peu sauvage. Je l'ai vue recevoir plein de messages de soutien. On porte tous un ruban noir sur nos stylos.

Jean-fab 75

Toujours le sabre au clair pour pourfendre les idiots, les débiles et les imbéciles. Mais je peux rire (jaune, parce que c'est écœurant quand même) sans crainte (enfin, j'espère).

Austylonoir

Un des premiers auteurs que j'ai découvert sur WLW, ça ne s'oublie pas.

Aurélien Loste

Qui écrit autant dans ses propres textes que dans les com qu'il poste, adore couper les cheveux en quatre, et me fait voir les robots sous, éventuellement mais c'est pas encore gagné, un autre jour.

Marielesmots

Dont je savoure chaque passage chez moi.

Et

Atrabailaire, , MinuitXV, Dominique Capo, Juliarolin, Lifesof, Alucard, Tzsara, Eymeric, Protos, Ellis, Nan, Astrov, Eaurelie, Anton-ar-Kamm, Ellie, Briseis, Ephan...

Et, et, et….

Et tous les autres que j'oublie sûrement alors que nous nous sommes déjà croisés, ce dont je suis désolée. N'hésitez pas à me mettre un com pour me taper sur les doigts, mais s'il-vous-plaît ne m'en voulez pas.

WLW c'est tout ça, plus tout ce que je n'ai pas pensé à dire, tout ce que j'ai dit de travers et tout ce que je voudrais dire encore.

Un reflet déformé du monde. Pas tel qu'il est, mais tel qu'il pourrait être.

Pour ça, à tous les auteurs que je croise, souvent ou de temps en temps, à WLW qui nous accueille, un grand merci.

J'adore vous lire, et j'adore tous ces mots que vous venez déposer sur ma table lors de vos passages chez moi.

Au plaisir de la prochaine lecture,

Carouille