L'amour en 4 saisons
Ce N'est Pas Moi, Ordi Hacké
Aujourd'hui c'est l'automne
Où l'on est un peu stones
Se réveillant d'été
Qu'on dit il fut été
L'on commence à penser
A bien se calfeutrer
Avec son âme sœur
Qui nous porte en son cœur
Ainsi l'on est feutré
Et très bien rassasié
Arrive enfin l'hiver
Les prés ne sont plus verts
Mais la blancheur nouvelle
Est un coton de lait
Pour séduire la Belle
S'allument les cheminées
Devant lesquels l'on peut s'amuser
A faire des nouveaux nés
Mais aussi à creuser
Profondeur des sentiments
C'en est parfois dément
On attend le printemps
On se dit il est temps
De sa peau dégarnir
Pour envisager un avenir
Avec nouvelle personne
Pour que l'amour sonne
Enfin la soufrière
De l'été est en place
Nous ne sommes plus en glace
Nous nous mettons à nu
Devant des inconnus
Ou devant son amour
On lui promet toujours
En lui offrant une glace
L'amour alors terrasse
Tellement la sueur serre
Les corps en atmosphère
Hello, et-ce qu'on aura bientôt le résultat ?
· Il y a presque 9 ans ·lucy-caly
Le cortège
· Il y a presque 9 ans ·Il aimerait que tu enlèves le haut
Ça fait quoi
Ça fait froid
Dehors il neige
Alors abrège
Il aimerait que tu enlèves le bas
Ça fait quoi
Ça fait froid
Dehors il neige
Vois le piège
Au printemps il t'a rencontrée
Marivaux il t'a provoquée
Dans ses bras tu as frissonné
Source d'un amour saisonnier
Tu as enlevé le haut
Il t'a demandé
Dis-moi ça fait quoi
Tes yeux remplis d'eau
Il t'a basculée
Tu as dit vas y prends moi
En été il t'a exposée
Très fier de ton teint si bronzé
Et les hommes se sont retournés
Il t'a demandé d'être payée
Tu as enlevé le haut
Il t'a demandé
Dis-moi ça fait quoi
De ses yeux sans eau
Il t'a ordonné vends toi
Tu as dit c'est sans moi
À l'automne les feuilles sont tombées
Tu l'as vu pauvre presque nu s'en aller
Amoureusement tu t'étais donnée
Mais te serais-tu prostituée
Tu as enlevé le bas
Tu t'es demandée
Dis-moi ça fait quoi
Regard en verre d'eau
Donner sans effroi
Partir loin là-bas
En hiver la neige est tombée
Lentement tu t'es dénudée
Disposée à tout bousculer
Sur le lit d'amants déchainés
Tu n'as pas voulu enlever le haut
Ça fait quoi
Ça fait froid
Dehors il neige
Alors abrège
Tu as enlevé le bas
Ça fait quoi
Ça fait froid
Dehors il neige
Beaucoup d'hommes vois le cortège
Tu n'as jamais enlevé le haut
Ça fait quoi
Juste pour voir
Dehors il neige
Tu as juste enlevé le bas
Ça fait quoi
Juste pour voir
Ce sortilège
Puis une autre année a passé
Printemps été automne hiverné
Marivaux revenu bouleversé
Te faire payer tu as cessé
Avec lui tu as ôté le haut
Ça fait quoi
Juste pour voir
Voir que tu es toi
Suspensoir
Dehors il neige
Lumière d'une bougie vrille sur tes bas
Ça fait quoi
C'était pour voir
Petite fille d'un soir
Sans histoire
Par la fenêtre tu vois il a neigé
Et tous les hivers seront enneigés
Stéphan Mary
Avec plaisir :) En souhaitant que vous ayez autant de plaisir à nous lire que nous avons eu à écrire
· Il y a presque 9 ans ·Stéphan Mary
Tic, Tac ... Tic, Tac ...
· Il y a presque 9 ans ·Tic, Tac ... Tic, Tac ...
C'st un hiver qui passe
Tic, Tac...Tic, Tac ...
C'est un été qui fuit
Tic, Tac ...
Sur l'horloge du temps
Ainsi va notre vie
Tic, Tac ...
Mais le printemps est là ...
Le printemps est en fleur
Sens-tu ce doux parfum ?
Il t'entraîne en douceur
Vers d'autres lendemains
T'enivre de couleurs
De son air si léger
Profite de cette heure
Laisse-la bien te porter
Laisse-la te conduire
Vers ce cœur qui te cherche
Crois-tu en l'avenir
Et ces futures promesses ?
Et quand l'été viendra
Au creux de ton amant
Tu les savoureras
Ces merveilleux instants
Tu ne voudras pas voir
L'automne qui arrive
Que tous ces tristes soirs
Te laissent sur la rive
Tu ne voudras pas voir
Ces arbres dénudés
Criant leur désespoir
Leurs rêves envolés
Oui, savoure ton Printemps
Oui, savoure ton été
Ne regarde pas devant
Il sera toujours temps
Tic, Tac ... Tic, Tac ...
Tic, Tac ...
Louve
O.V.N.I
· Il y a presque 9 ans ·En automn' je vais comme un chien fou sous tes feuilles
Renifler tes truffes à point, celles début novembre.
Mi-décembr' je vais au coq de la véranda
Lui tordre son cou pour le finir chez Mimi.
Mimi ce pissenlit à poil qui sent rien, rien !
Ni sous les bras ni sous les pieds ni au talus.
Janvier me fait trop chier pour rester tout l'hiver
A attendre la fin de la fonte des neiges
Disperser dans le lit du ruisseau ton calice,
Ce petit vase qui dans le monde ancien désigne
Une fleur en creux aux pétales aussi doux.
- Bois de mon vin délicieuse femme que tu sois
Jusqu'à ce que l'ivresse te tombe à terre.
Petite cochonne j'aime quand sous la pluie
Tu tires jusqu'au printemps tes clochettes muguet
Et que mon petit Iris apparaît en mai.
Je sais, j' profite de l'été pour te couper
Te montrer mes nuits et mon pieu pour te défaire.
Nomine Patris, Ovni, Spiritus Sancti.
effect
"Nos quatre saisons "
· Il y a presque 9 ans ·Premier hiver
Premiers regards loin d'être froids
Inoubliables battements de cils
Premier printemps
La sève monte
Sous ma robe mon sang fait des détours
Un été solitaire
Nous rapproche pourtant
Une carte postale entre les doigts
L'automne roussit
Les feuilles tombent
Et moi dans tes bras
Et toi dans mes draps
Notre amour a mis le temps
De s'enrouler autour de nous
Comme une écharpe magique
Chaque saison est un anniversaire
- merci pour ce joli thème!
Natacha Karl
merci beaucoup Alice! :)
· Il y a presque 9 ans ·Natacha Karl
''Je t’ai aimé''
· Il y a presque 9 ans ·Au printemps, tu as éveillé mes sens
Deux corps irrésistiblement attiré
Qui ne demandaient qu’à s’aimer
Serait-ce une chance ?
En été, j’ai craqué.
Je suis devenue accro
A tes mains caressant ma peau
M’excitant comme jamais.
En automne, la fougue est devenue monotone.
Plus de jouissance, simplement l’absence
D’un parfum, d’un homme
Mon bonheur ne demandait que sa présence.
En hiver, je t’ai écris ces quelques vers
Pour apaiser ma peine
En espérant que tu reviennes
Car toi seul était mon air.
Voilà j'espère que tu aimeras.
lucy-caly
Je suis impatiente de connaitre ton avis^^
· Il y a presque 9 ans ·lucy-caly
Je le repropose car la version transmise n'était pas la dernière (mille excuses) :
· Il y a presque 9 ans ·Le Papillon (Portrait d'une belle femme
Elle s'est mariée avec l'été
et aime tant ce destin
qu'elle s'éteint quand il prend fin
Libre comme une brise de juillet
elle s'est colorée de sa palette
pour mieux jouir de sa liberté
comme l'on choisit de laisser
sa porte grande ouverte
Elle savoure sa tiédeur
ses couleurs et ses odeurs
comme elle fait toujours
comme elle fait l'amour
avec passion mais douceur
parce que l'été et les jours
sont toujours trop courts
comme une première fois
qu'elle renouvelle à chaque fois
Fragile, un rien la briserait
si rien vraiment ne la retenait
comme ce papillon
de nuances vermillon
que l'on ne peut attraper
au risque de le tuer
Elle a la saisissante Beauté
de celles qui ne le savent pas
et rit et vit comme explose l'été
parce qu'il ne dure pas
Elle est un bouquet mélangé
Et lorsque arrivera l'hiver
elle traversera la terre entière
pour y retrouver l'été
sur ses ailes-liberté
comme Noé sur son arche
comme un papillon Monarque
peut être pour en mourir
peut être pour me revenir
comme un printemps
que l'on espère tant
qu'il arrive providentiellement
Isabelle Polle
Le papillon (Portrait d'une belle femme)
· Il y a presque 9 ans ·Elle s'est mariée avec l'été
et aime tant ce destin
qu'elle s'éteint quand il prend fin
Libre comme une brise de juillet
elle s'est colorée de sa palette
pour mieux jouir de sa liberté
comme l'on choisit de laisser
sa porte entrouverte
Elle savoure sa tiédeur, ses odeurs
comme on fait l'amour
avec passion, avec tendresse, avec douceur
parce que l'été est toujours trop court
comme une première fois
qu'elle renouvelle à chaque fois
Fragile, un presque rien la briserait
si rien vraiment ne la retenait
comme ce papillon que l'on ne peut attraper
au risque de le tuer
Elle a la Beauté de celles qui ne le savent pas
et rit et vit comme explose l'été
parce qu'il ne dure pas
ou les couleurs d'un bouquet mélangé
Et lorsque arrivera l'hiver
elle traversera la terre entière
pour y retrouver l'été
sur ses ailes-liberté
comme Noé sur son arche
comme un papillon Monarque
peut être pour en mourir
peut être pour me revenir
comme un printemps
que l'on espère tant
qu'il arrive providentiellement
Isabelle Polle
Voilà le mien, Alice ;
· Il y a presque 9 ans ·Brasier
Au printemps, ta main sur ma joue était l'étincelle d'un brasier d'enfer
A l'été, tes élans fougueux aux prés soleilleux attisaient la flamme. Je te croyais si grand. Ta main sur mes hanches.
A l'automne, je te suis acquise, comblée et naïve. Tu flambes tranquille.
Ta main dans mon cou
A l'hiver, j'ai lâché ta main. Tu n'étais pas un géant. Je frissonne devant les cendres
julia-rolin
joli !
· Il y a presque 9 ans ·Christophe Paris
mais dure aussi la fin ....
· Il y a presque 9 ans ·Christophe Paris
Merci Christophe ! il y a des jours ou tout est gris, oui.
· Il y a presque 9 ans ·Mets ton tien pour faire plaisir à Alice ;)))
julia-rolin
Ma participation : Ce printemps-là avait duré trois jours
· Il y a presque 9 ans ·Ce printemps-là avait duré trois jours
J'étais jeune, l'Amour me brûlait les veines
Je courais la ville et ses alentours
Cherchant partout ta silhouette lointaine
J'avais préparé un petit discours
Piqué deux trois tournures à Verlaine
Quand enfin je t'ai vue, j'ai dit : "bonjour !"
Avant de décamper à perdre haleine
Ce printemps-là avait duré trois jours
L'été de mes quinze ans tout plein de pluie
Je pensais à ta main contre la mienne
Quand nous tenions le même parapluie
Tu portais ton étui de musicienne
Et je te trouvais belle, épanouie
Je te récitais de vieilles antiennes
Empruntées à Ronsard un jour d'ennui
Ton rire avait des notes aériennes
L'été de mes quinze ans tout plein de pluie
L'automne s'était repeint par surprise
J'avais mâché mes lèvres à tes lèvres
Tu étais encore plus belle éprise
Nos corps roussissaient de la même fièvre
Bien que je fus bleu, je te sentais grise
Je nous enivrais d'une prose mièvre
Comme Poe, je t'appelais ma promise
La passion a de ces instincts d'orfèvre
L'automne s'était repeint par surprise
L'hiver s'alanguissait à petit feu
Les semaines filaient sans s'arrêter
Dans tes yeux, je voulais être amoureux
Nous manquions souvent de promiscuité
La vie nous rendait mornes et grincheux
J'exhumais des livres inusités
Un Rimbaud, un Christofle de Beaujeu
Tous parlaient d'Amour et d'obscurité
L'hiver s'alanguissait à petit feu
Stéphane Monnet
Au printemps vient la jeune fille en fleur
· Il y a presque 9 ans ·qui virevolte dans sa robe colorée
Sur son corps nubile les promesses de la beauté
Mais surtout elle arbore toute la fraicheur
D'un regard pas encore las, en toute candeur
elle te laisse l'étendre sur l'herbe fraiche
laisse fleurir son désir, savoure son gout de pêche
et son nectar sur ta langue ,observe-là prendre son envol
Bourgeon de femme, pour toi elle s'ouvre comme une corolle
son coeur intact n'a pas encore connu les premiers frimas
alors sois doux, en amour les débuts ne s'oublient pas
Puis vient la jeune femme à la plus belle saison
La chaleur d'un sourire, la joie darde ses rayons
Dans sa tenue légère elle s'offre aux caresses
Du soleil avec toute l'ardeur de la jeunesse
Mais la belle protège son cœur, elle sait raison garder
Dans une étreinte fugace sur le sable chaud
Elle ne se donne à toi que le temps d'un été
Comme vos corps se mêlent ; elle crie sous tes assauts
Tandis que pendu à une branche sèche son maillot
Ta sirène vis l'instant, cueille le fruit tant qu'il est mure
Car elle sait hélas, que dans la vie rien ne dure
A l'automne de sa vie, elle sent déjà le glas fatidique
dans ses os il résonne avec des accents tragiques
Ses parures tombent comme ses appas se fanent
dans un balai bariolé, on la voit lentement tournoyer
une dernière valse avant la fin du bal
c'est lentement qu'elle s'effeuille
laissant glisser au sol sa robe portefeuille
et l' enjambe sensuellement
avant de s'offrir comme un présent
au regard affamé de son amant…
A l'hiver de sa vie, femme veut être chérie
Poser sa tête neigeuse contre une épaule robuste
Jouir simplement de ces instants qui sonnent juste
Quand près du feu, elle sent sa main serrer la sienne
Avec le temps, l'amour est la seule chose qui tienne
À distance la mort telles les flammes dans l'âtre
qui gardent le froid en respect et puis après quatre
saisons ensemble, deux vieillards qui tremblent
n'ont en leur cœur fatigué plus qu'un seul désir
être près de l'être aimé quand ils se sentent mourir.
Lolita Denoual
Au sacre du divin Printemps,
· Il y a presque 9 ans ·S'éveillent les amours débutants,
La passion y trouve son allant,
& l'on se soucie peu du temps....
Puis survient un magnifique été,
Un superbe plaisir enchanté,
Amour physique à volonté,
Grâce, désirs, & volupté....
L'automne & ses vents contraires,
Perturbent ce si bel univers,
De l'amour on oublie l'abécédaire,
À cela, il n'y a rien à faire....
L'hiver & sa mortelle glaciation,
Refroidit nos éphémères passions,
De leurs feux la complète extinction,
Des saisons amourieuses l'abjuration....
don-carpaccio
Sang
· Il y a presque 9 ans ·Hivers, divers questions se posent...
Le galop du pur-sang me tenait en éveil
Ses pas heurtaient ma peau, ma tête trop sensible
Traînant mon regard vers cette mésange, cible
Un oiseau rare, si près du sol, une merveille
Le temps s’effaçait sous des éclats de lune
Son sourire jaune noyait toutes ces années
De cette pièce ressortait des souvenirs damnés
Des pertes de vues, posées, derrière les dunes
Le ciel épais portait son ombre sur mes plaies
Terrassant le portrait de mains douces, soupir
Terrible silence, loin des pas ou pire
Perdu dans l’offense de quelques jours, si laids
L’été, souvenir de gaietés
Sa robe bleu clair délivrait son message
Telle une plume elle flottait, légère brise…
Libre, ses nerfs ne connaissaient pas les crises
Passagère et éprise de ce sage
Une course folle projetait tous ses rêves
Mon âme dégringole, sœur de mes peines
Muette, se devine sortant du vieux chêne.
Brisure d’idylle, la scène se crève
Le son de ses pas me séparait de tes côtes
La douleur vive appelait mes six reines
Mi femme, mi démon, attachée aux rênes
Défilant livide au creux de son hôte
L'automne m'étonne,
Leur galop vif me projetait hors du sujet
La plage de galets flottait en substance
Reflets pigmentés de bonheur sans nuance
Une, deux ailes, un vol et un son sans rejet
Le soir, la mer déverse son flot de larmes
Inlassablement sur le sable, elle ne ment
Nettoyant les initiales de deux amants
La passion s’étant perdue sans cris d’alarme
Sans patience, le temps tuait notre chance
Notre veine à tous, les atouts sans contour
Fuyant la mort des sentiments sans un détour
Les mots d’amour s’étaient enfouis dans sept anses
Vers quels rivages doivent s’orienter mes nages ?
Une île au Nord, un lac sur une terre salée ?
Parle, souris, crie, écris où je dois aller ?
Sans amer, où trouver la dame sans âge ?
Des rives éternelles, étaux de promesses
Rêves de dérive, oublier tous ses mots
Langage de nos peaux, un gage sans repos
Sans une esquive, tant de tendres caresses
Le Printemps s'étend...
Vert pierre, la couleur soudaine de tes aveux
Celle de tes yeux sur mes humeurs éclaire
Celle de nos cœurs se vidant de barrières
Espoir que nos mains ne nous parlent d’adieux
Brûlure de foudre, désirs au creux du sein
Délire d’esprit pour deux âmes amoureux
Des vagues en pâture, un refrain heureux
Le partage d’une île aux multiples dessins
Un vent fort agite mes pensées sauvages
Une pluie d’été rigole le long des aisselles
Une goutte, puis une autre et une envie d’ailes
Partir, pour atteindre un dernier nuage
Trois gouttes d’alcool noyaient mon fond d’ivresse
Inutile trouble des esprits assoiffés
Pour oublier, une où deux toiles égarées
Pour oublier, un long fossé de vieillesse
Deux rues dans un songe, son de pas étranges
Les pavés résonnent d’idées en mouvements
Les silhouettes s’abandonnaient si lentement
Reines d’ombres avides, plombées d’orange
Lumières crues, si délicieuses paroles…
Perles de sueur, un brin d’humour sur nos fronts
Les fruits de malheur, disparus sans une raison
La folie rit sous nos doigts, drôle de rôles !
Le tonnerre donnait de la voix, jour trop clair
Comme ce son de galop perdu dans mon sang
Souvenirs lumineux où je sortais du rang
Accroché à tes reins, la tête dans les airs
Une chanson se fredonnait sur le sable chaud
Les vagues s’en allaient vers l’océan lointain
D’une à quatre, amusant l’horizon hautain
Haut, le soleil brûlait nos corps sous son halo
Trois coques de coquillage sur tes deux mains
Roulaient par plaisir le long de ton sourire
Immobile lutin presque roi, sinon sire
Mon regard trop content oubliait le demain
Un ruisseau de tristesse coule sur mon dos
La transparence des secondes me tire
Vers des lendemains sans teint, sans toi, sans rire
Mille et cent une idées, allongé seul, sans peau
Alors sans désir d’or, je dors, aux tropiques
Là, aux nuits si courtes, les étoiles belles
Absorbé par le courant des bateaux, le sel
L’eau, dans l’espoir futile d’un nouveau pic
Sur cette île, le hasard guide ma vie
De glace en glace, j’attends ton image
Un reflet, tendre dessin de ton visage
Destin de l’amour, ou effets de nos envies
De nombreuses haies disposées sur nos chemins
Ces obstacles augmentaient l’ombre du doute
Ôtant un instant, l’idéal de nos routes
Douleur d’absence, brûlure d’absinthe, rien
Puis un jour lumière, le noir sera si clair
La rencontre d’une auréole de mystère
Une si fine bulle d’oxygène sur terre
Le noyau désespoir devient espoir, d’un verre…
Jean François Joubert
merci pour votre proposition de concours, j'aime welovewords, et écrire, lire, alors plaisir !
· Il y a presque 9 ans ·Jean François Joubert
je t'ai lu, et j'ai lu les commentaires et les poèmes, du cout j'ai oublié de t'en laisser un. J'ai trouvé le poème pas trop triste c'est déjà ça.
· Il y a presque 9 ans ·elisabetha
Vous allez cartonner!!!!
· Il y a presque 9 ans ·fanche
Je vais m'y atteler !!! Mais en ce moment je casse pas trois pattes à un canards!!!
· Il y a presque 9 ans ·fanche
titre "au gré des saisons"
· Il y a presque 9 ans ·Les sentiments se fanent,
moins de lumière, soleil se voile.
Les feuilles de notre relation jaunisse,
gèle du cœur au petit matin.
Temps couvert sur notre amour,
temps frais sur notre destin.
C'est de saison, c'est le printemps.
Insectes polinisateurs,
butinent de cœur en cœur.
L'herbe est verte comme le bonheur.
Du bourgeons à la fleur,
nous illumine, plus de rancœur.
Temps doux sur notre amour,
temps ensoleillé sur le destin.
C'est de saison, c'est l'automne.
On rentre le bois, cheminés fument,
dans l'âtre des sentiments.
On tient au chaud notre passion,
on gratte les vitres de nos ardeurs.
Temps froid sur nos amours,
temps a la neige sur le destin.
C'est de saison, c'est l'été.
Sans complexe, on laisse à découvert,
notre passion en bikini.
On flémarde sur des sables de luxure,
on se baigne dans les eaux de notre ardeur.
Temps chaud sur nos amours,
temps caniculaire sur le destin.
C'est de saison, c'est l'hiver
fanche
vous avez vu chef.....!!!!!Comme j'écoute bien!!!!!
· Il y a presque 9 ans ·fanche
Le poème s'appelle "La Vie en roses" car si la Vie n'est pas rose, elle est de quelle couleur ? (parole d'enfant).
· Il y a presque 9 ans ·Isabelle Polle
La première aurait du être rose
· Il y a presque 9 ans ·mais je te l'ai donnée blanche
pour un début lorsque l'on ose
aimer comme une chance
La deuxième aurait du être rouge
mais je te l'ai offerte pourpre
pour la richesse d'un roi
quand j'ai voulu vivre avec toi
L'amour balbutiement
La Vie en printemps
Elle fut comme mon alliance
couleur or rose de l'espérance
et du combat pour demain
comme la rose dans le poing
Elle aurait du être bleue
parce qu'il a tes yeux
mais je te l'ai offerte jaune
la couleur de notre môme
L'amour d'une Vie
L'été de notre Vie
La suivante aurait dû être
comme le quotidien assassine
mais je te l'ai offerte
comme une rose sans épine
Celle-ci aurait dû être mauve
Mais je te l'ai ré-offerte rose
pour un homme qui n'a jamais fadit
dans ses convictions pour sa patrie
L'amour en automne
Une Vie avec un Homme
Celle là aurait dû faner
mais tant je t'aime
qu'elle reste la plus belle
après toutes ces années
La dernière devrait être noire
Mais je veux croire
que je t'aimerais toujours
alors je te l'offrirais rouge
L'amour en hiver
Pour recommencer hier ?
Isabelle Polle
La première aurait du être rose
· Il y a presque 9 ans ·mais je te l'ai donnée blanche
pour un début lorsque l'on ose
aimer comme une chance
La deuxième aurait du être rouge
mais je te l'ai offerte pourpre
pour la richesse d'un roi
quand j'ai voulu vivre avec toi
L'amour balbutiement
La Vie en printemps
Elle fut comme mon alliance
couleur or rose de l'espérance
et du combat pour demain
comme la rose dans le poing
Elle aurait du être bleue
parce qu'il a tes yeux
mais je te l'ai offerte jaune
la couleur de notre môme
L'amour d'une Vie
L'été de notre Vie
La suivante aurait dû être
comme le quotidien assassine
mais je te l'ai offerte
comme une rose sans épine
Celle-ci aurait dû être mauve
Mais je te l'ai ré-offerte rose
pour un homme qui n'a jamais fadit
dans ses convictions pour sa patrie
L'amour en automne
Une Vie avec un Homme
Celle là aurait dû faner
mais tant je t'aime
qu'elle reste la plus belle
après toutes ces années
La dernière devrait être noire
Mais je veux croire
que je t'aimerais toujours
alors je te l'offrirais rouge
L'amour en hiver
Pour recommencer hier ?
Isabelle Polle
Et les saisons défilent et les amours restent fidèles ou se renouvellent ...
· Il y a presque 9 ans ·Louve