Opération Khéops : le crépuscule des pharaons

saint-james

Synopsis :

 

Dans la nuit du 27 au 28 janvier 2011, au Caire, Khaled el-Hassad, jeune cyberdissident ayant pris part aux manifestations place Tahrir, est enlevé par des hommes cagoulés qui font irruption chez lui.

Le 28 janvier, un officier de la Division des Actions Spéciales de la CIA dépêché de Langley, expose au chef de la station du Caire, Michael Giuliano, les directives de la Compagnie : l’objectif  est de favoriser le départ du président Hosni Moubarak afin de contrer l’émergence des islamistes. Plusieurs moyens seront mis en œuvre : pression diplomatique, corruption des membres du gouvernement, propagande, infiltration et manipulation des leaders laïcs de la révolte.

Pour affaiblir Moubarak, les spécialistes de la CIA estiment qu’il faut discréditer le n°2 du Moukhabarat (les services de renseignement), Mahmoud Hassan al-Wazir dit « le Cheik », homme cruel et lascif connu pour son goût immodéré des jolies femmes. Parmi ses victimes figure Khaled el-Hassad. La libération du cyberdissident ferait basculer les événements en entraînant la chute du Cheik, et, par effet domino, celle du raïs. Mais les Etats-Unis ne peuvent s’impliquer sur le terrain sans risquer de provoquer une condamnation de la communauté internationale. L’officier conclut que pour œuvrer à la libération de Khaled el-Hassad il faut faire appel à un agent inconnu.

Le même jour (avec 7 heures de décalage horaire), on découvre Kate Moore à bord d’un avion survolant le Connecticut. Kate a défié le quaterback des Bulldogs. Le vainqueur sera celui qui ouvre son parachute en dernier. Kate pimente l’épreuve en jetant son parachute qu’elle rattrape en pleine chute libre. Elle est accueillie au sol par des acclamations avant de se remettre de ses émotions dans les bras de sa camarade de chambre.

Dans la soirée, Kate reçoit un courriel de sa mère, Tatiana, qui lui demande de la rejoindre au Caire. Kate prend un vol le lendemain et arrive en Egypte le 30 janvier. A l’aéroport, elle retrouve Tatiana, mais leur voiture est aussitôt prise en filature par un véhicule que Kate parvient à semer. Tatiana avoue alors à sa fille être membre du Kidom, le service action du Mossad et craindre pour sa vie. Elle a accepté d’accomplir une dernière mission avant de démissionner.

Sa mission consiste à assassiner un membre des Brigades Izz al-Din al-Qassam, la branche armée du Hamas, commanditaire de plusieurs attentats meurtriers à Jérusalem. Mais cette opération se révèle être un piège : un tireur d’élite tente de tuer Tatiana au cours de l’opération. Kate abat le sniper mais un mystérieux commando prend en chasse les deux femmes à travers les rues du Caire envahies par les manifestants. Au cours de la poursuite, Tatiana disparaît.

Kate se rend à l’ambassade des Etats-Unis. Elle y rencontre Michael Giuliano, officier de la CIA opérant sous couverture diplomatique, que le récit de ses exploits impressionne. Il propose à Kate un contrat en échange d’informations qui lui permettront de retrouver sa mère. Sa connaissance de la région, de la langue et sa condition physique en font une excellente recrue.

Son objectif est de retrouver Khaled el-Hassad, nom de code « Akhenaton ». Mais Giuliano soumet préalablement Kate à un test cruel : il fait accroire au Moukhabarat (via un agent du MI6) que Kate est une terroriste chargée d’exécuter le président Moubarak ! Le Moukhabarat lance à ses trousses une unité d’élite. Kate sort victorieuse de l’épreuve.

Seuls les aveux d’un membre du commando qui a enlevé Akhenaton permettrait de retrouver la trace du jeune homme. Mais l’homme, capturé par la CIA, refuse de parler. Or sous l’Administration Obama, la CIA ne pratique plus la torture. Kate va utiliser une méthode d’interrogatoire non pas musclée mais… très sensuelle ! Le détenu révèle qu’une femme était présente lors de l’enlèvement : Leïla Fakhri, célèbre chanteuse et maîtresse du Cheik, qui a servi d’appât pour piéger Akhenaton sur ordre de son amant.

Pour préparer Kate à sa mission, Giuliano l’initie aux rudiments du krav-maga et du pencak-silat. La séance d’entraînement tourne vite au… kamasutra !

Kate approche Leïla dans une boîte de nuit. Après une escapade érotique dans les toilettes, Leïla lui confie qu’Akhenaton est détenu sur une petite île de la Mer Rouge, dans une ancienne prison secrète… de la CIA !

Kate et Giuliano montent l’opération Khéops : Kate, qui a convaincu Leïla (en échange d’une forte somme d’argent et la garantie qu’elle sera protégée à vie en cas d’échec de l’opération) se rend sur l’île avec la chanteuse. Le Cheik, d’abord méfiant, ne résiste cependant pas à la beauté de Kate. Le soir même une orgie est organisée avec les nombreuses femmes de son « harem ». Kate s’esquive dans la nuit et délivre Akhenaton.

Une unité des forces spéciales américaines, guidée par Kate, est alors parachutée sur l’île. Le Cheik, ivre de rage, égorge Leïla. Un combat épique s’engage entre les hommes du Cheik et l’escadron de la Delta Force. Kate tue le Cheik dans un duel au couteau.

Portrait de l’héroïne en stripteaseuse :

 

Vous êtes confortablement installé sur le divan en cuir rouge d’un salon privé cosy, une bouteille de Taittinger Comtes de Champagne Blanc de Blancs 1999 devant vous. Vous n’y avez pas touché, fasciné par la présence magnétique de la danseuse qui se déhanche au son de « Speed up » de Funkerman, mixé par Bob Sinclar.

Juchée sur des escarpins rehaussés de dix centimètres de talon, elle ondule gracieusement de dos, offrant à votre convoitise ses jambes filiformes. Elle doit mesurer plus d’un mètre soixante-dix, estimez-vous, et ne doit pas peser plus de cinquante-quatre kilos, bien qu’elle paraisse musclée.

A travers le tissu vaporeux de sa tunique sexy, vous admirez sa chute de reins cambrée qui accentue le renflement de ses sublimes fesses bombées. Un tatouage se laisse deviner au creux des reins, et, malgré la lumière tamisée, vous parvenez à déchiffrer en lettres bleutées, tranchant sur la blancheur laiteuse de sa peau opaline, « Fuck or die ».

La danseuse a pivoté. Après avoir fait choir sa tunique à vos pieds, elle s’approche de vous, vêtue de son seul string. Ses seins généreux rebondissent sous votre nez. Vous levez les yeux et croisez les siens. La courbe de ses grands yeux vert émeraude aux longs cils fins vous enserre le cœur.

Elle rejette subitement la tête en arrière, affectant une nouvelle pose lascive. Sa luxuriante chevelure brune se répand dans les airs, achevant de semer le trouble dans votre esprit enfiévré.

Vous sentez son souffle chaud s’exhaler de sa bouche lippue. Son nez droit et fin frôle le vôtre, ses lèvres pulpeuses effleurent votre bouche entrouverte. Votre cœur bat la chamade.

Vous, qui avez dû aligner 300 $ pour ce show privé, vous ignorez que cette divine créature est née Kathryn Elizabeth Moore, le 25 octobre 1990 à Springfield (Illinois), de Tatiana Abramovitch, ex-top-modèle israélienne d’origine russe, et de Douglas Jefferson Moore, ancien footballeur américain reconverti dans la politique (membre du parti républicain, fervent presbytérien, il brigue le poste de gouverneur de l’Arizona).

Vous n’imaginez pas non plus que cette sublime jeune femme est une brillante étudiante en droit à l’Université Yale.

Mais sans doute vous montreriez-vous plus méfiant si vous saviez qu’elle est adepte du kenjutsu, ju-jutsu, ninjutsu, karaté, kung-fu, et qu’elle montre une prédilection pour le maniement du katana et du wakizashi.

Votre méfiance se muerait alors certainement en inquiétude si vous appreniez que votre employeur, la Central Intellingence Agency, a récemment recruté cette jeune femme.

Alors peut-être remarqueriez-vous enfin le poignard dissimulé sous le coussin vers lequel se dirige une main aux ongles impeccablement manucurés.

Un ange aurait tout le temps de passer, les ailes chargées de missiles balistiques.

- De la part de la CIA, votre Altesse sérénissime ! s’écria Kate en plantant la lame dans le cœur.

Et sur la moquette rouge roula le corps inanimé de Malko Linge.

Scène d’action :

 

Kate était parée à descendre. Il était temps : déjà la porte volait en éclats, livrant passage à sept hommes en tenue de commando armés de fusils d’assaut Heckler & Koch HK 53.

Kate s’élança dans le vide, une main sur l’autobloquant et l’autre sur la corde pour contrôler sa descente. Cent vingt-sept mètres la séparaient du sol !

Elle n’avait pas chuté de vingt mètres qu’un tir en rafale lui fit lever les yeux. Elle se plaqua aussitôt contre la baie vitrée, bloquant la corde, et de sa main libre, dégagea le pistolet Glock 17 de son jean. Elle visa et fit feu, atteignant sa cible à l’épaule et au bras. Légitime défense ou pas, elle se refusait à tuer ces hommes.

Profitant d’une brève accalmie, Kate plia les genoux et se propulsa en arrière, son arme braquée sur la baie qui lui faisait face. Les balles de 9 mm Parabellum étoilèrent le triple vitrage. Le mouvement de balancier la ramena brusquement vers la façade de l’hôtel, échappant aux tirs de ses assaillants.

Kate passa à travers la baie, le visage protégé par ses avant-bras. Elle se réceptionna sur la moquette d’une luxueuse suite, se dégagea du baudrier en un tournemain et épousseta négligemment les bris de verres sur ses épaules. Un couple de touristes allemands sexagénaires, allongés sur le lit, fixait la belle intruse avec des yeux exorbités.

- Was ? s’écria l’homme.

- Service d’étage, répondit calmement Kate en allemand. On m’a signalé des cafards. C’est que ça ne plaisante pas les cafards de nos jours, ajouta-t-elle en agitant son pistolet.

Elle fonça vers la sortie, ouvrit la porte à toute volée et s’engouffra dans le corridor.

Son pied droit saignait. Elle avait dû l’entailler sur les éclats de verre.

Elle courut haletante jusqu’aux escaliers de service, poussa la porte et jeta un regard en direction des étages supérieurs. Personne. Elle se mit aussitôt à dévaler les marches quatre à quatre, laissant l’empreinte sanglante de son pied blessé à chaque palier.

17ème étage. Elle entendit, malgré les battements de son propre cœur qui pulsait à tout rompre dans ses tympans, les pas précipités de ses poursuivants.

14ème étage. L’escadron gagnait du terrain. Une salve assourdissante fit crépiter une gerbe d’étincelles derrière elle, pulvérisant le béton. Kate pivota et répliqua pour ralentir la progression du commando. En vain. Les six hommes réduisaient inexorablement la distance qui les séparait d’elle.

9ème étage. Sans se retourner Kate sentait que l’escadron perdait du terrain. Et si le groupe s’était divisé ? Si trois d’entre eux avaient pris les ascenseurs pour la cueillir au rez-de-chaussée ?

5ème étage. Kate avait raison. Le nombre de ses poursuivants avait diminué de moitié. Il fallait adopter une autre stratégie. Rapidement.

Kate donna un violent coup d’épaule dans la porte de service et s’engagea en courant dans le couloir, l’épaisse moquette étouffant le bruit de sa course effrénée.

Elle avisa une femme qui entrait dans sa chambre, s’y engouffra à sa suite, traversa la pièce en deux foulées, fit coulisser la porte vitrée et se pencha dans le vide.

Le balcon dominait la terrasse de l’hôtel. Un large auvent en toile écrue recouvrait une partie de la terrasse. Kate glissa le Glock dans son jean, enjamba le garde-fou et sauta dans le vide.

La banne amortit sa chute.

Kate se laissa alors tomber au sol sous les regards sidérés de la clientèle attablée au bord de la piscine.

- C’est ce que les Français appellent un réveil au saut du lit, dit Kate au serveur médusé.

Scène érotique :

 

« Chut ! Tout va bien », dit Kate en arabe, appliquant son index sur les lèvres desséchées de Tawfiq.

Le prisonnier gisait sur un grabat. Des menottes liaient ses poignets aux montants du lit.

Kate se mit à califourchon sur son bas ventre, empoignant fermement ses cheveux, et tira brutalement sa tête en arrière. Son visage s’inclina vers le sien jusqu’à ce que leurs bouches s’unissent. Son haleine douce s’insinua entre les lèvres du détenu qui soupira d’aise. Leurs langues se rencontrèrent.

Kate sentit sous ses fesses le renflement du sexe qui se durcissait. Elle descendit jusqu’à ce que sa bouche se trouva à la verticale de l’entrejambe et abaissa la fermeture Eclair du pantalon pour en faire jaillir sous le slip une bite à demi bandée dont elle lécha avec délectation le méat, le frein, le gland, avant de l’engloutir goulûment, enfouissant son nez dans la toison pubienne de Tawfiq.

Elle sentit avec délice sa queue gonfler dans sa bouche. Les yeux embués de larmes, elle s’étouffait presque à force de vouloir s’enfoncer cette énorme bite jusqu’à la luette.

Tawfiq émit un râle de contentement.

Kate retira sa queue luisante de salive de sa bouche dans un bruit de succion humide. Elle se leva pour dégrafer sa robe vaporeuse qui tomba sur ses chevilles. Elle ôta son soutien-gorge et fit glisser sa culotte humide le long de ses jambes.

Le belle espionne reprit position sur le lit, tête-bêche, creusant ses reins pour accentuer la cambrure de sa majestueuse croupe callipyge qui s’offrit à la bouche affamée du prisonnier. Tawfiq huma avidement les senteurs enivrantes de ce cul divin, lapant tour à tour son anus, son clitoris et ses lèvres dégoulinantes de cyprine. Il se délectait de ce nectar intime, ivre de désir, le corps parcouru de frissons. Son adroit jeu de langue arracha trois orgasmes successifs à la belle amazone qui se contorsionna comme une furie.

Subitement, Kate pivota sur elle-même, frustrant Tawfiq du plaisir de dévorer son cul. Il avait tellement titillé son petit orifice qu’elle décida de s’empaler jusqu’à la garde, déroulant préalablement un préservatif taille XXL sur cette queue aux proportions titanesques, avant d’enfourcher sauvagement Tawfiq. Elle imprima un mouvement de bas en haut qui arracha des gémissements au détenu.

- Dis-moi où est Khaled el-Hassad ? demanda Kate, le souffle court, son visage où perlait la sueur penché sur lui.

- Je ne sais pas, ahana Tawfiq, secoué de spasmes. Il aaahhhh a été embarqué ahhhh à bord d’un hélicoptère de transport léger. Je ne connais pas aaahhhh sa destination. J’ai déjà tout dit à la CIA aaahhhh !

- Pas de ça avec moi, Tawfiq ! s’exclama Kate, se désempalant brusquement, arrachant ainsi un terrible cri de frustration au détenu.

Elle se mit à caresser doucement la queue en souffrance, susurrant à l’oreille de Tawfiq :

- Je vais te faire jouir en moi comme aucune femme ne t’a jamais fait jouir. Supplie-moi de te baiser !

- Baise-moi !

- Plus fort Tawfiq ! Je veux que tu le cries !

- Baise-moi !

- Alors dis-moi comment retrouver Khaled el-Hassad !

- Je jure que je ne sais pas où il est détenu ! Mais il y avait une femme avec lui ce soir-là. Elle lui a tendu un piège.

- Son nom ?

- Leïla Fakhri.

Pour récompenser Tawfiq, Kate se remit en selle, chevauchant fougueusement sa monture jusqu’à atteindre le paroxysme de la jouissance.

Un orgasme de magnitude 7 sur l’échelle sexuelle de Richter déferla simultanément sur l’amazone emportée dans sa folle cavalcade et son puissant étalon.

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