WLW

J'ai un ordinateur bidon qui vient de se rallumer tout seul me faisant perdre tout mon texte, le deuxième jet n'est jamais le meilleur.

WLW. Je l'ai connu vers mes 15 ans si ma mémoire n'est pas défaillante. J'en ai désormais 27 ; cela me paraît une décennie folle. - Vous savez, l'ergonomie était grise. Pis elle en a changé des vertes, des mûres, des plus ou moins mûres. Il y a toujours le temps de l'adaptation au changement (-le changement, c'est maintenant-)… On gueule, je l'ai fait, et on s'avoue vaincu. On fait avec, puis on oublie le passé. On ne se plaint plus.

WLW, concernant mon compte ; ce sont des milliers de textes uniquement déposés ici. C'est à dire sur aucun autre site, ni sauvegardés sur mon ordinateur ; et encore moins sur papier. WLW disparaît, je perds onze ans d'écrits. C'est bien ma veine….

Le site ne durera infiniment si ses webmasters ne font rien. Le serveur va être surbooké à un moment donné. Je perdrais tout, mais entre nous j'en ai vu d'autres. J'ai déjà perdu nombres de textes dans mes deux changements de compte (une perte de motdepasse et un hackage).

Soit, je perds tout chaque fois, mais je crois que je m'en….fiche. Je ne suis attachée à mes textes, que je trouve passables ; et dont j'ai traité toutes mes thématiques à moi. Sans en trouver plus une à faire parler. Cependant je m'accroche, non pour faire du vent ni remplir le site (et j'ai pu être prolifique dans le passé, certains se souviendront) ; mais parce que j'aime écrire.

Oui, j'attends des commentaires. Sur ce fait, je suis orgueilleuse. Je n'aime pas publier pour moi-même. J'ai besoin, (d'amourrrrrrrrrrrrrrrr) ; de retours.

Je fais aussi des commentaires quant je sais ce que je peux dire d'un texte que j'ai pensé. Quand j'ai aimé je le dis haut et fort. Et quand j'ai aimé mais n'ait aucune répartie, aucun propos qui me vient pour féliciter ; je note seulement. Mais oui peut-être que je suis autruche, je n'ai jamais osé écrire ou noter à un texte que je n'aime pas. Je ne suis pas bonne critique….

Alors oui, j'aime les commentaires que l'on me laisse. J'aime donner des commentaires. Je ne me sens pas sur un forum mais je ne vois pas le but d'un site d'écriture sans partages d'avis.

J'aime avoir des commentaires. Une partie d'égocentrisme. Mais je perds mes textes pour l'infini parfois ; et je m'en fiche. L'on me met dans quelle case ? Après tout je m'en fiche aussi.

Mais qu'est ce que je fais là à écrire cela ? Juste toutes mes félicitations, parce que je suis fière de vous, je suis fière de NOUS. L'on est une bonne équipe quand on apprend tous à se connaître par la singularité de nos textes. Une signature, une habitude de vous lire avec sourire. J'ai mes petits protégés ici ; et quelques échanges épistolaires, que je considère comme de l'amitié.

Il y a les nouveaux, il faut leur laisser prendre place dans l'hémicycle. C'est ce que j'aime, ce renouvellement.

Mais dont je suis dans un très grand affect quand l'un de nos membres s'éclipse…. :'(

Je n'écris plus tellement. Mais lire, oui. J'ai devant moi tout mon temps (je ne travaille pas), pour parcourir ce site, ce que je fais avec délice.

Ma vie virtuelle se cramponne à facebook et WLW. Très attachée aux deux structures… Voire plus à WLW.

Il est temps que ce texte dont la première version était bien mieux, s'achève pour que je me remette à vous lire.

Alice/Aurore qui avoue son vrai prénom : Marion. (je fais perdre le Nord).