
le m. est hors du penser
_aylden_r
Paysage d'horizon, ou petit prince, je n'écris plus pour toi, puisque mon prisme se noie mieux désormais de rivage en rivage de couleurs...
"J'ai toujours estimé la poésie comme un somptueux banquet, où chacun est le bienvenu, et n'y force l'on personne de manger d'une viande ou boire d'un vin, s'il n'est à son goût, qui le sera (possible) à celui d'un autre."
- Du Bellay, seconde préface de L'Olive
Paysage d'horizon, ou petit prince, je n'écris plus pour toi, puisque mon prisme se noie mieux désormais de rivage en rivage de couleurs...
Ce flanc droit caressé par les couches successives du nuancier aqueux, Je le pose, juste là, je le pose aussi pour ton plaisir et ta vue en faisan...
À l'instar de l'éclair qui transperce la toile céleste aux filles insomniaques, chacun de tes mots grondent et résonnent dans le tableau originel d...
À l'instar de l'éclair qui transperce la toile céleste aux filles insomniaques, le moindre de tes mots grondent et résonnent dans le tableau origin...
Sous le tilleul à l'automne, je me suis couchée Epistémophile du temps où les nymphes veillaient les égarés des pensées-chrysanthèmes. Sous le ti...
J'ai cru en la parole du monde. Je ne crois plus. J'ai aimé la matière. Je n'aime plus. J'ai ri hier. Rien maintenant. Simple néant. Vide. </p...
Lorsque la fortune promène son automne au printemps, La suite gémit en un souffle impétueux qui suspend La danse fiévreuse des joyeuses aux pieds d...
Dans l'ombre du jardin, Les dalles dansantes Empourprent les douces statues de marbre, Et la jeune Vénus se cache, derrière l'arbre, Du brâme court...
A J.
Par-delà la fenêtre, des champs fous de bruyère forment un socle d'améthyste pour soutenir les préoccupations des nuées rosâtres et bleu pastel en ...
Pour le temps qu'il reste.
Fantasia, terre de mes possibles où nagent des hippocampes de cristal brut où tissent des draps doux des arachnides de velours où rêvent les frigid...
Pendant que les arcs lunaires aux mœurs attendries nous font basculer dans le monde d'Eros et d'Orphée, Le voile safran de ta conscience se lèv...
Lorsque mes yeux t'ont goûtée la première fois, doux sucré de ta voix, les secrets de ton double masqué semblaient déjà connus des spectateurs...
Arrêt Malbec. 18 h 30. J'ai vu un homme qui passait dans la rue et qui lui ressemblait beaucoup. Il avait le même polo que lui... Arrêt Quincon...
Un mystère entier demeure depuis plusieurs années, Mystère caché et refoulé Dans une malle vieillement cirée, Malle engloutie et retombée Dans l'es...
A nos formidables échanges dont la lumière chasse mes regrets.
Minuit sonne une fois encore, comme si cela lui tenait à cœur, le versant du cadran solaire. J'ai l'impression que les sages ne disent vrai, ne v...
J'ai la mort en dedans.Et tu n'y pourras rien changer.L'arbre bleu aux feuilles pourpres et veineuses a la croissance dans l'âme et des...
L'ai-je simplement rêvé ?
Inspiration : « Putain de ballerine », de Soan
A une heure banale – Cher journal, Cadavres de bouteilles sur le comptoir,Je crois qu'il...
Homme, vainqueur, hérosDes chagrins carcérauxMa lueur, mon amour,</blockquo...
A lire au prisme de "Défaillance". A la même personne, qu'elle se sente enfin libre.
La douleur,Le plaisir,L'indécence… <blockquote class...
Inspiration : "Aux Enfers du Plaisir…", de silas-chien-dutopie
Le refrain d'une chanson de mon ami E.
Car je me rappelle chaque instant, avec une certaine émotion tendre que moi-seule peut comprendre, même si je souffre encore terriblement de t'avoi...
Ami, autour d'un verre se surprendreLorsque les valeurs nous lient Amour, sur un lit de mousse s'entreprendre<bl...
le travail de mon ami E. , très parlant en un sens
Artisan d'abord... de sa propre paix, de son propre amour...
Je n'ai rien vu, aucune empreinte de la nuit, et même pas la trace de tes pas sur le sable noi...