Putain de merde.
Antistrophé
J'avais juste envie d'écrire.
J'écris pour ne pas mourir...
Humain essayant d'échapper à l'égoïsme...
J'avais juste envie d'écrire.
Une expiation.
Je balance... je balance,... je balance et je déteste.
Le titre est clair je crois.
Une mauvaise journée.
Un texte que j'ai expulsé.
J'en ai ma claque de cette perpétuelle complainte.
Je ne sais pas, j'avais une idée, puis s'en est devenue une autre, pour devenir ce texte.
Une pulsion m'a frappé, j'ai écrit. (je sais que les mots "frénétisme" et "lividant" n'existent pas, je les ai laissés intentionnellement.)
Un autre ramassis d'élucubrations.
Des élucubrations.
J'avais le titre en tête, et le texte a suivi.
Le titre résume assez bien mon intention, dont la réalisation ne me dit pas quoi en penser...
J'ai pensé que la mort pourrait être un ensemble vide qui nous serait donné, et voila ce qui en a découlé.
Je suis parti du titre: "Noir", et j'ai écrit au fil de ma pensée.
On m'a demandé que mon prochain texte ai pour titre : "Aubépine", et donc, le voici.
Une petite scène de théâtre que j'ai du créer et jouer avec une partenaire et qui m'a plu. Théâtre se voulant Absurde.
Un poème qui fait, en quelque sorte, suite au texte précédent bien que l'autre ai été écrit sur plusieurs semaines.
Je pense que le titre résume bien assez l'esprit du texte, je pourrais toutefois y ajouter: "ma condition" sans y apporter bien plus de précision.
Durant une période sordide de ma pensée envers moi-même aujourd'hui, ce poème m'est sorti de l'esprit.
J'ai écris ce poème au fil de ma pensée qui se jetait sur le papier.
Des poèmes, tous de la même thématique générale, sortent de mon esprit, en voici un nouveau.
Un autre poème qui s'est jeté de lui même sur le papier, correspondant à la métrique du premier essai aussi.
Un poème que j'ai écrit d'un coup, les mots me venant et correspondant à la mesure du premier essai.
Ce texte n'aurait a proprement parlé pas de préconception mais sera juste le fruit du flot de mots qui se déversera de mon être.