JAUNE ET NOIR.
Edgar Fabar
Quand les gilets jaunes succèdent au black friday...
J'explore tout ce que j'ignore et j'affronte la page blanche à chaque fois que je rassemble assez de courage pour poser mon cul sur une chaise. Mais la plupart du temps j'échoue et croupis à la prison de la Distraction. Physiquement, je suis long et je possède une barbe noire à même la peau sauf le dimanche. Edgar Fabar est un pseudonyme car en vérité je m'appelle James Bond et que c'est dur à porter au quotidien.
Quand les gilets jaunes succèdent au black friday...
Jo rencontre Romy peu de temps après avoir perdu sa mère. Il commence à vriller quand Romy le quitte. Et c'est là que l'histoire démarre.
Mars 2012 C'est bizarre la façon dont il la connait. Avec un copain, elle vend des vinyles dans une brocante à La Villette. Il passe deux heures à...
Arthur - Il faut de la force pour aimer Mehdi - Et lui, tu l'aimes aussi ? Arthur - Fais pas ta brute, lui c'est rien, tu m'entends ? ...
Faty croit ce que sa mère lui a dit depuis toujours. Ne compte que sur toi-même. Fuis les hommes burkinabés. Travaille dur et le reste viendra. Son...
Il s'est passé un truc hideux quand je travaillais chez Flattard Carrelages. Quelqu'un a commis l'irréparable là-bas. Il a projeté un client cont...
Stanley - T'en as rien à foutre en fait, oh ce que tu me dégoûtes (il crie) Pam - Mais sois un homme à la fin, arrête de geindre Stanley -...
- Pourquoi mordilles-tu toujours le bout de tes pailles ? J'ai tourné la tête, pour faire semblant de réfléchir, comme toi lorsque quelqu'un t'inte...
Derrière chacun de tes mots, la vérité nue, déchirante. Et me voilà triste. Déchiré. J'aurais voulu ne jamais lire ces mots. J'aurais voulu ne pas...
Amour fasciste, brûlant, festif, sanglant et vif, émouvant, désastreux peut-être ! Tu avais promis de ne pas me détruire. En cinq secondes, mon œi...
Mon père m'a toujours dit d'accélérer à l'orange. Il n'a jamais fait confiance aux mines graves des gens dans les embouteillages. Il aimait les fus...
Je n'étais jamais allée aussi loin de chez moi. Vingt-cinq rue Henriette, Colmar, Nord-France. La rue piétonne qui rejoint l'église, le coin pavé o...
J'allais écrire ma plus belle histoire à la cafétéria de Leclerc. Il y aurait des témoins. Je pense à cette femme que j'ai l'impression de connaîtr...
Le malheur de Mademoiselle Carlotta vient du don qu'elle possède.
J'ai été le plus heureux de tous les hommes de tous les quartiers de la francophonie.
Un homme passe des heures sur sa terrasse.
La fin du monde arrive, une femme.
Parfois ne pas se rappeler est plus simple.
Les USA sont menacés par une attaque d'une ampleur inédite. Le Président apprend la nouvelle.
Un très jeune président doit faire face à une situation de crise sans précédent. Son héros de jeunesse Big Banger viendra-t-il lui prêter main for...
Gabrielle n’aimait pas la violence qui émanait du rock, mais le reggae c’était autre chose.
Le bateau était chargé Il portait les manteaux d'hiver de cent esclaves en cale c'était un rafiot, il tanguait non loin de l'Argentine, au soleil d...
Au soir de l'ennui J'ai croisé Michel Cet homme qui n'aimait pas La parole Qui ne dormait plus guère Depuis qu'il avait crevé sa dernière veine, j...
Écrit à la sortie du film 120 battements par minutes.
Un nouveau petit frère. Une série de meurtres d'animaux. Une enquête difficile. Les années 80 : entre souvenirs d'enfance et fiction féroce.
Je ne peux fermer les yeux Que dans le noir, Quand les monstres dévorent le monde, Que la nuit Arbore La couleur de l'ivoire. Je ne suis pas ...
Jean-Pierre. Le dernier mot prononcé par le mort est un mystère pour sa famille.
À Wall Street on brulait les banquiers et Marc Levy, À la place de l'Assemblée Nationale, on érigeait une statue de Bob Marley.
A l'envers d'un cœur planant il écoute vibrant, Les battements de la nuit Il guette le monstre dans le mouvement, en naufrage sur la terre Il lais...
Je ne suis pas qu'un délavé Qui imprime ses tapages Au revers de petits nerfs bien secs j'ai de l'acide dans les yeux quand tu es seule que les ma...
Contes photographiques
débordements, éclats et flaques
Chroniques de ma vie sous helium : turbulences, décontraction & autres jeux de mots de ...