Onirisme
lya
Je monte un escalier qui rétrécit au fur et à mesure de mon ascension. En bas sur le canapé, des jeunes filles aux airs Javotte, me regardent et se...
Je monte un escalier qui rétrécit au fur et à mesure de mon ascension. En bas sur le canapé, des jeunes filles aux airs Javotte, me regardent et se...
Un grand tambour dans mes organes, Voici l'organe de mes amoures, Voici la fleur qui crie, se fane Et puis mon coeur qui bat toujours...
La révolution du Québec, révolution « tranquille » s’il en est, à toutefois joué un rôle primordiale dans l’histoire du pays, elle marque la ruptur...
Refrain 1 : La scène s’ouvre sur un décor en noir et blanc. On voit le mur d’une maison, volets clos, un peu ébréchés. Guillaume Grand chante en pl...
Suite à la journée consacrée à Haïti sur France Culture vendredi dernier, il m’a semblé très à propos de vous parler du Royaume de ce monde d’Alejo...
La solitude me rend solitaire. Je l’ai toujours fuie, cachée parmi les autres, protégée. D’abord « en famille », puis « en colocation », puis « en ...
Cela n’arrive qu’une foi par an, un peu comme pour Stonehenge. C’est pour ça que je suis venu. Je sais que je prends des risques mais ça vaut le co...
Paris, 5 septembre 1962. Mon cher Victor, Tu me pardonneras mon long silence, contre lequel je n'ai que l'excuse du travail. Le mois de septembre ...
Car la vie est trop courte, Apprécie-la Ne te laisse pas Couler… Encore une fois, reprends espoir et… Réagis !
- Allo ? - … - Marie, c’est toi ? - … - Marie, je sais que c’est toi, pourquoi appelles-tu ? - … - Tu ne devrais pas m’appeler comme ça. C’est fini...
Il neige à Paris Et ma joie gamine Souvenir royal du mont "Ostie de slush de marde !" Ils disaient. "Ostie de slush de marde !" Et ma joie gamine
[ Complainte, Terre, Force, Etreinte, Souffle, Braise, Violence, Parfum, Onde, Désir. ] Ecoute la complainte de ta terre, voie la force de son étre...
L’histoire que je raconte n’est pas une belle histoire. C’est l’histoire d’un échec, d’une désillusion et finalement l’histoire d’un fiasco. Et cet...
Tout le monde connait Le Parfum, le chef-d’œuvre de Süskind, ou au moins sont adaptation par Tom Tykwer, dont on a malheureusement retenu guère plu...
Paris s’acharne sur le charnier de ses visages morts. Entassés, écrasés dans la démesure. Tout ce rétrécit dans l’immensité de la ville. Entassés d...
Jaillissement de sang, de lumière. Liquidité solide. Goutte cristallisée. Comme une larme sur le velours, tu viens te rompre au contacte de tes sœu...
19h03 : [MODE ON] Chambre 12m² environ, papier peint (se décolle par endroits). Posters représentant des groupes de rock et des sportifs, punaisés ...
Au lendemain de la bataille, dans la plaine déserte. Partout corps et cratères gisent Membres sanglant, bras, jambes ou têtes Au clair du jour, lum...
Beauté calme aux cheveux mêlés. Et tes yeux qui pourtant scintillent d'intelligence et dont les regards semblent se poser au dessus du monde... Et ...
Entres Arnaques et Rapines, acte V, scène V : ERNEST : [...] Mais que vois-je ? À mes yeux la Simone le terrasse Et vient me le livrer, moi, fou q...
Et pourtant ils fuient tous comme des bêtes affolées, Ils courent, ils volent, vers de nouvelles nouveautés... Elle n’avait pas vraiment choisi ...
Ah, on a l’air fin ! Avec nos gueules de littérateurs et nos bouches en cul de bouteille ! Bouteilles à la mer oui ! Elle n’était pourtant pas à bo...
Vous prendrez bien un verre ? Vin blanc, vin rouge. Tes yeux bleus, ma France. Tu portes le nom de mon pays. Tu bois du rouge et dans le blanc de t...
Tu l'entends encore, sa voix suave et sonore se faisant cette fois-ci si cassante pour tenter de créer une manière d'à propos avec une situation qu...
Ton étreinte folle me brise de son absence. Ce soir je te veux en moi, autours de moi et partout où je me répands de ton amour.
Ici la vie coule à flots. Aime ! Les fleurs sont blanches à la nuée Et la folie comme éclairée Clair-obscur, pays blanc et gris, ...
Ma chère petite Emilie, Te voilà à l’âge de raison. Tu ne le sais pas encore, mais tu es à l’aube des meilleures années de ta vie. Bientôt, d’ici q...
J'aurais voulu être née homme. Ou telle Cénis, devenir Cénée par la grâce de Neptune et me trouver homme enfin, et invincible, insensible aux flèch...
Petite automne, graine de folie Comme les feuilles, les joues rougies Elle est toute joie et sourires, Légère comme un éclat de rire Mais aussi fra...
Lya était une rêveuse qui se voulait écriveuse, or son imagination l’emmenait bien loin de l’école et ses notes tombaient plus bas que ses pieds, e...
Déjà deux heures qu’il est aux aguets et que de pied ferme, il les attend, armes chargées et grenades enclenchées. La rage au coeur. Il n’a pas peu...
Ici la vie coule à flots. Aime ! Les fleurs sont blanches à la nuée Et la folie comme éclairée Clair-obscur, pays blanc et gris, ...
Ses pieds martèlent les pavés, comme si la vieille pierre pouvait se fendre sous ses talents qui ont traversé la ville. Elle bat la rue, l'artère p...
e hisse mon corps. Tout droit, je lève les bras pour toucher le coton de l'imagination, j'ouvre grand la bouche pour que les abeilles effraient mon...
Je suis le rail de la pensée ,ignorant sifflements ,innondant les arrets .Les planches de bois bien dressées devant les croix de fer ,la suite ,je ...
J'ai beaucoup reflechi pendant que tu me faisais l'amour . Le nombre de paroles ejectées dans le vide Les litres de venin craché sans scrupules . T...
Travailler plus, pour gagner plus Payer sa retraite à Fabius A Mélanchon ou à Sarko Génération sur le billot Travailler plus, cotiser plus Jouer ta...
Octobre en vain de toi Faut que je vous parle de Manon. Manon ma source ; de souvenir, de nostalgie et de fantasmes. Chaque fois qu’octobre pleure ...
Quand on y est, elle est bonne, c'est quand on en sort qu'on s'enrhume. C'est tiède la médiocrité. Médiocrité d'un monde peint sur toile tendue : Q...
J’aime pas le matin. Le matin c’est l’heure de se lever, et se lever c’est dur, surtout le matin.
La chaleur et la rue dévêtue de ses bruits
Cela n'était qu'un mot, bien souvent éludé.. Avant. Ni pour moi, ni pour toi – mon amour. Ce n'est plus un mot, il est là.. Entré par effraction, i...
je me fous de l'automne et des brumes fantômes je ris à la face des vents gris et coulis je jette l'anathème sur tous les chrysanthèmes des feuille...