Les nuits solitaires
nilo
La pluie ruisselle Avec force et rage. Mais ce n'est pas elle Qui inonde mon visage Ce sont des perles Irisées d'inquiétudes. Qui font des ger...
lounalovegood
- Lecteur
- Auteur
- Ecrivain
- Chroniqueur
- Versonnex, France
49 coups de cœur 49 coups de cœur
-
-
Laisse moi te dire que.
rafistoleuse
J'entendais, ça crépitait. C'était lointain. J'ai rien fait. Les jours de pluies tu me reviens. Vague. Le sourire en coin. Et je me liquéfie. Méfie...
-
Tout ça pour ça
bout
Le clic du flic Le public magmatique Et le pronostic impudique République en panique Pouvoir sans avoir Réservoir de savoir Concevoir les devoirs V...
-
"LE DÉCORS"
pierre-ysilda
"LE DÉCORS" Quand nous serons tous las D'avoir trop existé Qu'il n'y aura plus au sol Qu'un tas d'os rouillés Des prothèses auditives Et des destin...
-
Petit matin en forêt...
astrov
Un scarabée actif trimballait sa bouletteAu long d'un chemin creux, en se disant "j'assumeMa réputation de travailleur vedette!".Un moineau commenç...
-
Oh toi mon coeur!
elisabetha
Oh toi mon cœur Mon beau jouet cassé Je ne peux l'oublier Même si tu bas toujours Ta petite musique de vie! Trop de douleurs Pour ...
-
Ondulations
elisabetha
Ondulation: danse dans l'espace. École buissonnière du mouvement qui refuse la ligne droite. Sinuosité sensuelle mais aussi ondulation de la voix q...
-
Un souffle
elisabetha
Un souffle si ténu qu’au début on n’y prend garde. Un espace léger qu’on ne voudrait qu’à soi, un jardin secret où les souvenirs s’enfouissent au p...
-
Le thé est servi
elisabetha
Le thé est servi. Colette dit cela avec une aisance très "british". Le thé semble donc un moment important et je goûte des yeux le petit four aux a...
-
Chocolat
elisabetha
Aujourd'hui: Ennui Amplitude: Infini. Silence du gris Grand bruit d'Incompris ! Alors tant pis! Je prends du chocolat Pour oublier ma vie. Cho...
-
je t'aimais tu sais
elisabetha
je t'aimais, tu sais. Tu étais belle, tout en caresses Tout en promesses. Ton regard de velours, Ta bouche de soie Tes pommettes rieuses Et tes che...
-
Non merci, j'ai déjà mangé
jean-fabien75
C’est coton la crise. Non seulement, les gens ne sortent plus et se tapent des carences en vitamine D à faire passer Johnny Winter pour un aficiona...
-
Ce que ma femme me refuse.
Giorgio Buitoni
Il passe la porte, vouté, l'air piteux de si bonne heure. Je l'attends assis derrière mon large bureau en chêne massif. C'est un grand black mai...
-
Ma carcasse
Alexandra Bitouzet
L'émoi que je t'insuffle est-il assez puissant pour que tu penses à moi même quand je ne suis pas là ? Et quand tu la regardes, cette autre que je ...
-
A la bonne heure
Mathieu Jaegert
Atelier d’écriture : « Un jour, mon poisson rouge est mort en sautant hors de son bocal, j’ai jeté son cadavre dans le fleuve » De ce fait anodin, ...
-
Aie aie aie...
lyselotte
-J'te dis, ma voisine, que tu devrais pas aller au taïso ce soir ! Tels sont les mots qui me reviennent en mémoire alors que, le nez dans les acari...
-
La bonne blague!
Karine Géhin
Celui-là, il est pour moi. Je vais me le faire. Rapide présentation, histoire que vous puissiez vous représenter ma bobine : Karine, la trentaine, ...
-
Les bras du vent
bleuterre
Fermer les yeux Frapper à la porte Et attendre le vent Entendre Le bruit d'une larme Sur le lac Laisser Les sombres pins S'endormir Dans les...
-
je suis attentif à toi
Pawel Reklewski
? mon cœur, tu me dis là une lute qui s'annonce, mon cœur, dis moi la réalité, je sera là avec toi , dans tes silences, quand tes pieds te brûleron...
-
Ne pleure plus
dimir-na
Tenderness dry your tears. "Eli, éli lama sabachthani " ( Père, père pourquoi m'as-tu abandonné ? ), la phrase la plus connue au monde, reste d'ac...
-
La sirène de la liberté
dimir-na
Texte protégé Elle eût aimé se présenter nue face à la mer, sa pudeur fut longtemps, la robe invisible, de son trousseau d'éducation, la seule touj...
-
Pile ou face
Michele Hardenne
Pile ou face Tes idylles Te dépassent Trop fragile Tu te casses Sourire facile ...
-
Condoléances poétiques
dimir-na
Le philosophe met en avant l'éternité, elle est la mémoire et le berceau futur de tout écrivain, de tout lecteur. Le poète honore les recueils de P...
-
sans titre
bleuterre
Coeur poudré de blanc Les mâchoires du silence dévorent mon corps
-
Mimétisme canin ou ADN commun?
divina-bonitas
Pour rire, quand le ciel bas et lourd, chargé d'eau et des sombres nuages de la crise, du chômage et des "emmierdements" quotidiens, pèse comme un ...
-
La presse m'oppresse
ombeline
Chère Presse Féminine, Le soleil chante, les oiseaux brillent et tu nous abreuves encore de ton sujet préféré, cette saloperie de marronnier qui fa...
-
Histoire d'amour à quatre ronds
le-fox
La scène est sur un lac. Enfin, un lac ; plutôt un trou d’eau. Une sorte de grande piscine pas propre, aux berges ombragées de feuillus non réperto...
-
L’âge des bleus.
petronille
Il attendait déjà sous l’abribus quand je suis arrivé. Un gamin comme tous les autres, les baskets à moitié lacées, le sac énorme dans le dos, le v...
-
Femme à poil
bleuterre
Bon, je vous préviens, lecteurs que je n'ai volontairement pas estampillé ce texte « public majeur ». voyeurs en tout genre, vous pouvez aussi pass...
-
et mon esprit te regarde sourire.
Pawel Reklewski
baiser mon joli cœur j'aime quand tu m'écris, tu me rassures aussi, et moi je te dis que je t'adore, encore et encore, je pose des baisers légers ...
- Voir plus
