GIGI
Pierre Scanzano
Petit portrait non exaustif d'un personnage singulier, pourtant banal, courant...Comme quoi, celui à qui je voudrais m'inspirer m'est, en quelque s...
Somme toute, il n'est pas impossible que j'écrive poèmes sur poèmes. Après tout, il faut d'abord vivre pour écrire ce que l'on a vécu. Avoir du tanin, et quelque chose à vomir, et des secrets à proposer. Comme par exemple, cette idée d'absolu qui me hante. Absolu qui nous racle l'esprit... Absolu, excluant tout humanisme, parce que d'abord chose mentale. Incompréhensible - néanmoins, faisant partie de notre Tout...Décalé
Absolu qui se suffit à lui-même. Mais, c'est dans les attributs de l'homme ; la quête, la soif, d'aboutir à la quasi perfection. Imparfaitement humaine !
Alors, dans ce cas -, et seulement dans ce cas, je dis oui ! Qu'écrire, ça ne mange pas de pain. Voici donc, ci-dessous, ma modeste contribution, qui vient du monde de mon absolu. Révélé, dépecé, afin que vous puissiez vous y nourrir et qui sait, vous en souvenir...
Nourrir, comme il vous semblera bon de m'avaler, par les mots : les poèmes, poèmes en prose, nouvelles, et que sais-je d'autre de silence entre les espaces, fauchés par l'emprise du temps qui passe.
Ce temps qui nous caresse dans le sens du poil, et que dans le geste suivant, n'a de cesse de nous réduire en poussière qu'il faudra bien épousseter, pour qu'elle luise avant tout, l'absence de l'autre. Le Non de l'absolu, si irréel.
Silence ahurissant de vérité. Silence - le temps d'un signe improbable ou d'une reconnaissance, même posthume.
Peu importe, et quoi qu'il nous arrive, dévorez-moi ! Et sans fausse modestie, je vous assure que : parce que je le vaux bien, vous le valez tout aussi bien que moi...
Nous nous lirons, qui d'autre pourra nous lire?
Et fantasmer sur ce qui a été écrit et vécu?
Buvons les rêves aux becs de nos alambics...
Petit portrait non exaustif d'un personnage singulier, pourtant banal, courant...Comme quoi, celui à qui je voudrais m'inspirer m'est, en quelque s...
s'imaginer parfois quand la bouche n'a pas d'issue ni d'écho valide et ne peut pas sortir un mot en plus de ce qui a été énoncé en aval de la paro...
de la beauté j'aime la férocité son isolement de la laideur sa sexualité ses mouvements l'hésitation excite ma disponibilité envers l'un ou <br...
Pendant la cérémonie pas de larmes... ni trop de Salamalecs...
La sensation troublante de voir ce que l'on ressent...
voir ou revoir si la vie est un palier ou des marches à monter ou à descendre il ne manquent que les portes les verrous l'oeil de boeuf la targette...
" Un corps son franc parler n'est pas fiable. Un corps oppose ce qui ne veut faillir à ce qui a failli dedans ".
On voudrait. On ne peut pas. Et si c'était vrais ?
que ce soit clair mon principal centre d'intérêt est de ne rien faire qui soit impérissable substantiel et surtout je ne veux pas me distraire d'...
ce que je cherche est dans les gens qui m'ont précedé et ceux qui me suivront... ce que je cherche me traverse de part en part comme une lame lumi...
Ainsi toute notre vie oscille comme un pendule, de droite à gauche de la souffrance à l'ennui... (Schopenhauer)
Suite du premier texte...
On voit mieux...
Si vous voulez lire le texte en entier allez-y sur ce site : http://scanzano.jimdo.com/
Quand quelqu'un d'irremplaçable s'en va, son monde le suit... et vous êtes seul à le comprendre...
Suite...
Poème du dedans... pour ceux qui sont en mon dehors...
Proses vindicatives...
Proses... Vers...
Que faire, quand on ne sait plus où aller ? Et que revenir vous pousse à repartir ?
Et si c'était vrai ?
Suite de petits textes reposants, décoratifs, pour la beauté de lire...
Que fais-tu pendant que le monde te détruit à petit feu...
Et des montagnes éventrées de la tête aux pieds Par la houle du ciel et de la terre Et des fenêtres ouvertes-fermées Portes barrées par la peur ...
Ce qui vient vous ravir... sans résister. Vous vous laissez faire. Un mot après l'autre : et ces quelques poèmes... parsemés.
Quelques poèmes extraits des recueils : Bleu-Nuit...Homériques... Mon désespoir...Mon sexe sinon rien... Mon Qui... Mon Amour... Mon Poète...
D'après le tableau "femme se coiffant " de Félix Vallotton
Un meurtre possible, calculé, pensé, de Manhattan à Clichy
Bon, on va se coucher les esprits eux, ne pioncent jamais...
Pourtant j'y croyais dur comme fer. Un soir, au Père-Lachaise...
Offre-moi un souvenir Un petit bout de rire Même un jour de pluie Pour inonder ma vie Une éclaboussure sur du papier jauni Une rature sur un menson...
Ils sont nombreux, correspondent deux par deux avec ce sentiment commun que le rire est le meilleur garde fou. Ils ont tous du cœur et forment un c...
Un essai sur l'âme des objets qui traversent le temps.
J'ai de la pluie au fond du cœur Et des nuages au bord des yeux Mes doutes ont suspendu l'heure Ou nous aurions pu être heureux Une étoile amere ...
Pour un fidèle qui croît.
Avoir du stylo, habiller les voyelles, consonnes les sujets passés, présents et futurs Mais graver l'encre serait un risque de raturer son charme e...
Regarde-moi! Ancre ton regard en moi, arrête de le faire glisser sur cette pente d‘indifférence. Je suis toujours là, devant toi. Je suis la même, ...
Naïveté songeuse
Poèmes de Catherine Leblanc ( Anthologie "Voix de femmes et autres mystères.." dirigée par Lucie Eon, collection Nuevo Poésie, éditions du Petit Pa...
Raconter une femme inconnue aperçue sur mon palier
Il y a une immensité, un vide. J’essaie désespérément de le remplir de mots. Je déverse des torrents de phrases, des inepties pour la plus part, de...
comment je résiste quand...
Pour S.
Nouvelle en trois périodes
Texte inspiré du tableau "Madame Alexandre Bernheim" de Félix VALLOTTON
Quand la passion rythme la vie à la mort par déchirures...