Véga
mlleash
Dites à Vega que je ne reviendrais pas. Ici tout pique, tout brûle. Peut être que c'est de la douleur, mais c'est au moins quelque chose. Un cœur q...
"il faut, avec les mots de tout le monde, écrire comme personne." Colette
Dites à Vega que je ne reviendrais pas. Ici tout pique, tout brûle. Peut être que c'est de la douleur, mais c'est au moins quelque chose. Un cœur q...
Il devait être 2 heures. Peut-être bien 3. Je n'ai jamais de montre, je vis en fonction de la nuit, en fonction du sommeil des autres. Moi j...
Gagnant de la nuit des plumivores (concours jetez l'encre).
Les mêmes matins d'été, les mêmes histoires de putes en manque de figure paternelle qui branlent des types sur des bateaux. Les mêmes faibl...
Pour le concours "The Poetry Borthel" la présentation de mon personnage est après le texte.
Pour le concours "the poetry brothel"
Elle s'assit sur l'escalier en bois. Le grincement sous ses pieds brisait le silence de la nuit. Elle n'avait pas de temps à perdre…Pourtant…Elle ...
- Mademoiselle. C'est l'heure de votre traitement. - J'arrive. J'ai regardé par la fenêtre, une femme avec de longs cheveux noirs et son parapluie...
(Lire avec la musique en lien. Merci)
Il y a dans son cou plusieurs éclats sucrés, Que j'inspire d'une traite, en traces, Je lui laisse ma peau, je lui laisse la place, Je me prête. ...
C'est en passant par le Peletier à cause d'un énième colis suspect à Saint-lazarre que je me suis souvenus de cet ami que j'avais eu. Cet am...
Cette nuit me paraît plus belle que les autres, étrangement. Le ciel sans nuage laisse entrevoir une myriade d'étoiles et le fond de l'air est plu...
Bref coup de sonnette, déjà dans l'escalier, Mémé ouvre ses bras, offre de doux baisers. Un biscuit de Savoie sous la toile, caché Répand dans la c...
Texte protégé Sous une pluie excluant jusqu'à son ombre, sa détresse délavait un tatouage futuriste, posé là entre ses seins, deux poires emplie...
Parfois, quand le ciel se couvre d'opprobre, que les commentaires pleuvent sur nos murs effrités, mines déconfites, que la marmaille tire sur la ro...
A mesure que les vagues au dessus du béton, Tanguent contre les murs, limitant les issues, Et qu'on est plus bien sûr, car si chaud qu'on en sue, S...
Ce sont des fleurs glacéesqu'on offre par brassées à des jardins de pierres ces cimetières frileux antichambres aux...
Pour Liloo Twist en référence à son texte : "Je ne sais rien" qui me rappelle le mien, ce poème écrit il y a bien longtemps...
Une petite réponse aux textes éponymes de Sy lou, Alice et Louve... et de Liloo Twist initiateur de l'idée,,,
Sac à dos, à l'arrache, allez hop et j'me casse. Pas loin, hein, il me faut juste du pain. De chez moi au bas de ma rue en passant par Peuple, parc...
Photo Guillaume Seignac (1870-1924)
Fragments#3#4
C'est comme si c'était devenu une évidence.
Peinture Nicolas de Staël
Le curseur clignote. Je pourrais écrire l'histoire de Jane, cette femme au doux visage orné de rides et au pull en cachemire dans les tons roses. J...
Photographie par Matthieu Ricard.
Tu me manques, chaque jour tu renais de ta terrible absence. Quand les autres bavardent, oublient d'être des hommes, courage et tolérance, tu m'ava...
Semaine 12.
on se croise, on se perd, on part de loin on se trouve, on meurt et on revient
"Quand tout va mal il faut chanter l'amour, le bel amour. Et quand tout va bien, chantons les ruptures et les atrocités" Serge Gainsbourg
Peinture Serge Marshennikov
Sonnet.
Paris, le 13 novembre 2015
Petit texte.
Dans la seconde d'hésitation où il a considéré les choses, il a tremblé à s'en faire vaciller l'âme jusqu'à la dernière certitude et soudain la vie...
Photographie par Michael Villeneuve.
la désaffection
On restait en arrière, collés, soudés, à attendre son retour. Elle partait en balade. Elle chaussait ses bottes de sept lieues, sa vieille peau d'a...
J'ai beaucoup trop vu ...