.
parismrs
Assis contre sa fenêtre clope au bec il mate le jour fondre comme de la glace. La nuit qui s'infuse dans les dernières lumières c'est comme le br...
J’aime le café et le silence et je n’écris que dans ces conditions.
Je suis un peu au bord de tout, tout le temps, au bord des larmes avec des rêves qui débordent, mais qui ne vont jamais bien loin, j’aime tout où j’aime rien, pas les moitiés, pas les presque. J’aime les trucs tristes et les regards rempli de brume, les trains, le vin, les comptoirs et les mots qui te grattent les tripes.
Un jour j’aimerais avoir un atelier, où tout plein de gens fous viendraient fabriquer des machines qui ne serviraient qu’à faire joli, en attendant j’essaie de faire des phrases avec la tristesse d’un visage.
J'ai les yeux dans la lune.
https://surlepapiernosombres.wordpress.com/
Instagram : parismrs
Assis contre sa fenêtre clope au bec il mate le jour fondre comme de la glace. La nuit qui s'infuse dans les dernières lumières c'est comme le br...
Assis contre sa fenêtre clope au bec il mate le jour fondre comme de la glace. La nuit qui s'infuse dans les dernières lumières c'est comme le br...
Assis contre sa fenêtre clope au bec il mate le jour fondre comme de la glace. La nuit qui s'infuse dans les dernières lumières c'est comme le br...
C'était un amas de têtes raidies sous la lune, une galerie de figures étoilées. Ils étaient venus. Tous. Le village presque en entier. Une Kro ...
Dehors le bruit des moteurs meurt dans la nuit, j'imagine alors la procession de phare jaune descendant la vallée, leur chaine de lumière ruisseler...
Tu marches clope au bec, les mains enfoncées loin dans ton jean, ton profil doré par le soleil. Tes cheveux comme milles étincelles. C'est l'hiver ...
On est parti en vacances, prit le large, ouvert les fenêtres de la vieille 205 et laissé l'air nous souffler les cheveux. Rien que ça c'était les v...
Le train démarre, glisse doucement sur les rails et tandis que mes yeux retiennent une dernière fois tes contours, ma main se pose sur la vitre f...
Elle avait, flanquée sur le visage l'expression de ceux que la vie a déjà consommés. Et moi j'avais cru la saisir en entier. Elle était cette fille...
J'avançais droit, le jour crevait la nuit et par filet l'horizon m'arrivait dans le cœur. J'avançais, tu me revenais par jet, par éclipse, par éter...
Mon cœur s'effrite d'éclats en échos épuisés Ton départ, mon errance. Le passé ne passe pas. Du fond de ma vie, j'écoute l'amour qui s'en va et la...
Par-delà la fenêtre à l'aube couchée, s'ébauchait le jour et l'ombre encore engourdie des hommes. Il est des solitudes qui ne s'apaisent jamais. Da...
Il avait eu une vie sans cris, sans bruit et sans éclats, quand il rêvait de tempête, de relief et de clinquant, une vie toujours entre les lignes ...
J'essaie d'écrire de nouveau, je sens que quelques trucs viennent plus facilement, mais c'est encore laborieux et ce n'est pas encore tout à fait c...
En panne d'inspiration depuis des mois…………. Ces quelques phrases tournent en boucle dans ma tête depuis des semaines et je sentais qu'il fallait qu...
Et ce matin-là, dans les sommets encore enroulés des brumes de l'aube je sentais cette envie de voyages qui me tenait vivante. De nouveau je song...
Il y avait chez lui quelque chose de très aérien, un peu en marge des autres sans qu'il ne s'en rende vraiment compte. C'était le genre à aimer la ...
J'me suis vite dit qu'il fallait que j'emmagasine tout, toi, ton menton fourré dans ton écharpe, la force de cet instant. Là-bas, dans le bout du c...
Petit texte inspiré (enfin essayé) de l'écriture d'austylonoir que je trouve douce, poétique et vertigineuse !
On avait 25 ans On était à l'infini, un élan dans la nuit, des instants arrachés à la vie. Tu disais bleu, je disais noir, toujours, on était des ...
T'avais les yeux rouges des matins à rien, t'as dit un truc profond, j'ai pas écouté puis t'as disparu dans la vapeur des rues même plus endormies....
Tu chantais Bob Dylan un peu comme la vie qui s'échappe, le temps d'un instant puis tu redevenais vide. T'avais les yeux dans les étoiles en attend...
On avait l'air de pas grand-chose, le soleil s'enfonçait dans la nuit et sur ton visage pendant que tu crachais, à contre-jour, la fumée ou bien t...
Il fait nuit, bien doré, comme quand j'étais gosse et que je regardais longtemps dans le soir. Je me colle contre la fenêtre et je respire l'odeur ...
Le soir tombe et je marche à côté de toi, ça sent la pluie, tu sens l'orage, celui qui va exploser parce qu'il a eu trop chaud, tu parles même pas,...
Ca fait plusieurs fois que j'écris sur Fauve, alors excusez-moi pour la répétition, mais je ne pouvais pas aller à leur concert sans rien dire aprè...
Coucou tout le monde du coup je re post mon petit message hésitez pas a passer faire un tour sur mon blog si vous avez deux minutes ça me ferait pl...
J'aime ça d'habitude être seule, mais ce soir j'en ai pas envie, ce soir j'en peux plus, j'ai la gorge sèche et un goût de déjà trop dans la bouche...
C'est pour ça que je vis, pour des moments comme ça, pour le souffle que me donne la musique parfois, pour les jolis mots, pour Fauve, pour l'urgen...
Partie 2
Juillet 76, seize heures avant la R16. Dernier jour d'école, dernière récrée, premiers rayons de l'heure dorée. Dans la cour je suis, dans la cour ...
C'était parce que nous vivions parfois en immortels, que nous nous projetions dans le futur en oubliant l'idée de la mort – avec ce qu'elle impliqu...
Que me souviens-je? Palais d'orients, nacrés ainsi la perle, et bleuis de bassins aux périmètres d'or, M'habitent ces palais venus dans la déferl...
S'agissant d'architecture urbaine, aucun édifice ne provoquait en moi la même émotion que la vue d'un aéroport dans la grandeur de la nuit. Il me s...
C'était tout une agitation. Des coups de spatules donnés contre la plaque et déchirant les steaks en fines lamelles, le crépitement de l'huile au c...
toujours le même principe, une histoire écrite à partir d'une chanson
Que nous sont les déserts et les mers agitées, les nuits de cavale à l'ombre des cieux? J'entends dire la rumeur, au creux de l'oreille, «royaumes ...
En réponse à parismrs à poursuivre son texte.
(1)
Si tu pouvais savoir tout ce que je vois. Je marchais sur le bitume cramé, le regard en l'air, sous les pas battant en mesure avec ma respiration. ...
Dans ma vie parcourue, par les peuples éparses, Sur les vestiges athéniens et sur la tombe des rois, Aux caps de fin du monde, où monte et cou...
Paris, près du périphérique. Le grand jaune d'œuf chauffe la ville à blanc. Un immeuble suffoque toutes bouches ouvertes, noyé par la vague de ch...
C'était un jour où le soleil avait forcé sur le pays sa grande chaleur, l'avait si bien établie qu'on en suait par nos visages et de nos corps tout...
première volée
C'est que parfois aussi, je pense aux restes de toi. J'en ai des morceaux éparpillés d'odeurs et de murmures, et d'un parfum qui me remonte et...
Je n'ai pas pas coutume à plaindre mon sort, À nommer malheur en mauvaise fortune, On ne sort que grandi, et mûr et fort, D'épreuves...
C'est que le temps et la saison, font de l'homme que je suis, – entre cœur et raison, et feux et pluies, et mers et désert...
Nos mots en éclats font d'acérées brisures, Sous la chaste peau d'inconnus familiers, Qui stoïques à l'émotion, et soudain abîmés, Tombent à la sur...
C'était une de ces nuits-là, de celles qui comptaient pour au moins mille et une réunies. Un sentiment l'avait attrapée violemment ; l'avait poussé...
Et alors, j'avais compris. Il me passait un afflux d'émotions dans chaque parcelle de corps, et jusque dans le dessous de la peau ; nerfs et veines...
Et l'oeil se repose dans la nuit défilée, Se distrait au regard de sombres paysages, Ténèbres épaissies et filets de lumières, Éclats fuyan...
À la dernière heure, où l'on couche le soleil, J'irai, par trafics fumants et routes bitumées, Par ponts et passerelles, et lumières scintillante...
Le problème, Aly, c'est que toi, t'es pas faite pour cette vie d'adulte rangée que tout le monde essaie de t'imposer, t'es pas faite pour être rang...
Le désert, j'ai demandé. C'était un paysan ; un homme de la terre jusque dans le froissement de ses vêtements, où la glaise s'était incrustée de fa...
Semaine 12.
semaine 8
L'amour glycine ne fleurit pas toujours mais étreint avec grâce les vieux piliers de pierre qui contemplent le temps il plonge ses racines dans l...
L'image de cet homme émeut. Ce père qui après quinze ans séparé de son fils, prisonnier politique dans les prisons de Syrie, le voit passer les por...
La porte du dortoir a volé en éclats, une voix gueulait des ordres, dont tiré du sommeil, je ne comprenais pas encore le sens. C'était le sergent-c...
Projet Bradbury, semaine 3.